Très peu connu, le Grand blanc, (Tall White) a été décrit par un ancien
observateur météo de l'US Air Force, il s'agirait d'un Humanoïde de 1 m
80 à 2 m, voire de plus de 3 m en moyenne, jeune, au physique très fin
et luminescent...
Leur visage serait semblable au notre, excepté leurs yeux, bleus et plus larges que les nôtres. Cette entité posséderait quatre doigts à chaque main, se terminant par des espèces de pinces. Leur espérance de vie serait de 800 ans, et leurs vitesse de course atteindrait 60 kilomètres par heure.
Ils émettraient des sons entre le sifflement et l'aboiement.
Caractère : Selon Charles Hall, les Grands Blancs sont en très bons termes avec les hauts responsables des gouvernements, et peuvent devenir très violents si une situation ne leur convient pas. Ils ne craindraient pas du tout les humains, et seraient capable de se protéger de n'importe quel projectile grâce à un champ magnétique.
Ils seraient aussi très fort en matière de lévitation et de télépathie.
Leurs premières motivations serait le partage et l'étude scientifique des comportements de leur espèce et de la nôtre. Source : reso-off
Charles J. Hall est titulaire d'une licence en physique (1972) et d'une maîtrise en physique appliquée (1973) de l'université d'État de San Diego (Californie), ainsi que d'une maîtrise de gestion de crise décisionnelle (1983) de la Nova University de Fort Lauderdale (Floride). Il a plus de 18 années d'expérience en conception de logiciels, et plus de 9 années d'expérience en conception/création de sites Internet, incluant ceux destinés à usage militaire et gouvernemental. Il a aussi 18 années d'expérience en analyses scientifiques dans le domaine nucléaire. Il dispose d'une autorisation d'accès à un niveau secret du Département américain de la Défense.
Les Tall Whites représentent un phénomène assez récent dans le cadre des récits sur les extraterrestres dans la mesure où Charles Hall, ancien observateur météo pour l'Air Force, s'est livré à des confessions de façon très tardive. Il a préféré attendre que ses enfants soient indépendants mais également d'avoir la distance requise pour raconter l'incroyable expérience de ses interactions avec ces extraterrestres. Comme nous l'avons déjà mentionné dans l'article général sur le phénomène, c'est entre 1965 et 1967 que Hall, alors stationné dans une zone voisine de l'Aire 51 sur l'immense base de Nellis dans le Nevada (Aire 53 ou 54), a véritablement vécu une vie au quotidien avec des extraterrestres humanoïdes de grande taille, à la peau blanche et crayeuse et aux grands yeux bleus en amende. L'expérience fut pour le moins traumatique pour l'intéressé tant elle fut étrange et hors norme. Pour illustrer de façon plus vivante l'affaire des Tall Whites, nous vous proposons de prendre connaissance de la traduction française de l'entretien exclusif que Charles Hall nous a accordé en ce mi avril 2005. Ensuite, en contrepoint à cette entrevue, vous pourrez lire l'interview de “Sweeps Fox”, un ufologue et animateur radio américano-irlandais tout à fait atypique qui s'avère être l'un des premiers avec Paola Harris et Michael Salla à avoir interrogé Charlie.
Une opinion fascinante.
Karma One: Dans la littérature relative aux abductions, avez-vous avez pu repérer des récits de victimes qui relèvent typiquement des interactions, de la description physique et du comportement des Tall Whites ? Vous souvenez-vous précisément de quels cas il s'agit ? Dans le cas contraire, cela voudrait-il dire que les Tall Whites n'enlèvent généralement pas les gens?
Charles Hall : Non, je n'ai jamais vu de Tall Whites enlever des gens d'une manière malveillante comme le décrivent les cas typiques d'abductions. Cependant, comme je le dis dans mes livres, alors que j'étais sur le terrain, dans leur domaine, si les Tall Whites estimaient qu'un être humain était en danger ou avait besoin d'aide, ils pouvaient s'en approcher pour offrir leur aide s'ils le pouvaient. L'homme, terrifié et confus pouvait aisément confondre ce comportement avec une tentative d'enlèvement. Par exemple, dans “Milliennial Hospitality” j'ai décrit mes expériences personnelles dans ce domaine. Aussi, d'autres activités peuvent parfois également apparaître aux yeux des humains comme étant des enlèvements alors qu'elles n'en sont pas. Par exemple, dans Millenial Hospitality, dans le chapitre intitulé “In Memory of Me”, l'enseignante extraterrestre, l'enseignante est un personnage central du récit. Elle est l'intermédiaire principal entre Hall et les Tall Whites ainsi que son protecteur, elle amenait sa petite fille pour qu'elle puisse jouer avec une petite fille humaine. Ni la petite fille humaine ni sa mère ne furent en réalité enlevées. J'ai repéré dans la littérature sur les enlèvements plusieurs cas de ce genre. Un autre cas qui a attiré tout particulièrement mon attention est celui intitulé “Incident at Happy Camp”, qui a fait l'objet d'une enquête de la part de l'un des plus célèbres chercheurs en matière d'Ovnis. Dans ce cas, la description des extraterrestres et de leur vaisseau correspond parfaitement et définitivement aux Tall Whites. Dans ce cas précis, ils ont seulement enlevé des êtres humains mais uniquement après que ceux-ci eurent attaqué les enfants.
Mes observations personnelles à ce sujet sont :
-Je n'ai jamais vu quoi que ce soit qui pourrait m'amener à croire que les Tall Whites sont des êtres surnaturels, qu'ils sont là pour ensemencer notre planète, créer des hybrides ou qu'ils utilisent des trous de vers (ndtr : dans le sens des portes spatiales) dans l'espace ou encore que les Tall Whites voyagent dans le temps, que ce soit dans le passé ou dans l'avenir ou encore provenant du passé ou de l'avenir.
- J'ai pu observer régulièrement des vaisseaux qui voyageaient de façon routinière plus vite que la vitesse de la lumière.
Karma One : Dans certaines histoires à propos des races extraterrestres, on peut trouver des descriptions de certains “grands blonds nordiques” aux yeux bleus. Pensez-vous que l'on peut établir un lien entre le phénomène des Tall Whites et cette typologie d'extraterrestre?
Charles Hall : Je n'en ai aucune idée. Je ne peux que parler de mon expérience personnelle avec les Tall Whites et les extraterrestres que je décris dans le troisième volume “Millenial Hopsitality III The Road Home”, des extraterrestres que je surnomme “les Norvégiens aux 24 dents”. Il n'y a aucune corrélation que je peux voir entre les Tall Whites et les présumés extraterrestres de type nordique.
Karma One : Avez-vous des informations à propos de la première interaction entre l'Air Force et les Tall Whites lorsque l'armée est arrivée dans le Nevada pour construite la base de Nellis ? Vous semblez dire que les Tall Whites n'étaient pas exactement des nouveaux venus mais qu'en réalité ils étaient installés bien longtemps avant l'armée US ?
Charles Hall : Je ne dispose pas d'informations personnelles concernant les premières interactions entre le gouvernement US et les extraterrestres Tall Whites. Cependant, comme je le décrit dans le 3 e livre, la Tall White qui s'appelait elle-même “l'enseignante” affirmait que Pamela (ndtr : prénom « humain » d'une fille Tall Whites) était née dans la vallée d'Indian à l'époque où James Madison était le Président des Etats-Unis Springs (ndtr: Indian Springs est une région située en plein cœur de la base de Nellis au sud de l'Aire 51 et “ appartenant” aux Tall Whites). Cela remonte aux environs de l'année 1812. La construction du hangar principal des Tall Whites correspond à la fin des années 40 et au début des années 50. Je note que le président américain Harry Truman affirmait qu'il croyait avoir rencontré le fantôme d'Abraham Lincoln dans la Maison blanche une nuit alors qu'il était président à la fin des années 40.
Cependant, j'observe que sa description du soit disant “fantôme” correspond tout à fait à un certain nombre de gardes Tall Whites que j'ai personnellement vu la nuit sur les terres d'Indian Springs. Pour cette raison, je suppose que la première interaction formelle entre les Tall Whites et le gouvernement US a eu lieu au cours des années 40 ou au tout début des années 50. Je remarque que les légendes des anciens grecs qui remontent à 972 avant JC se réfèrent à un groupe de “Dieux” Tall Whites que l'on disait provenir d'un groupe d'étoiles d'Acturus. Pour cette raison, les anciens Grecs désignaient l'étoile “Acturus” sous l'appellation du “Veilleur”. Pour cette raison encore, il est fort probable que les Tall Whites aient pu venir sur terre il y a au moins 3000 ans.
Cependant, j'observe que sa description du soit disant “fantôme” correspond tout à fait à un certain nombre de gardes Tall Whites que j'ai personnellement vu la nuit sur les terres d'Indian Springs. Pour cette raison, je suppose que la première interaction formelle entre les Tall Whites et le gouvernement US a eu lieu au cours des années 40 ou au tout début des années 50. Je remarque que les légendes des anciens grecs qui remontent à 972 avant JC se réfèrent à un groupe de “Dieux” Tall Whites que l'on disait provenir d'un groupe d'étoiles d'Acturus. Pour cette raison, les anciens Grecs désignaient l'étoile “Acturus” sous l'appellation du “Veilleur”. Pour cette raison encore, il est fort probable que les Tall Whites aient pu venir sur terre il y a au moins 3000 ans.
Karma One : Dans l'imaginaire public, la base de Nellis de l'Air Force est généralement associée à l'Aire 51. Ce lieu est supposé être une base pour des extraterrestres que les gens appellent les « Short Greys », les « Petits Gris ». Ces entités extraterrestres sont supposées vivre dans de profondes bases souterraines et entretiendraient des relations agitées avec l'Air Force. Avez-vous entendu parler de l'existence d'autres races extraterrestres à Nellis ? Si oui, quelles étaient les relations entre les Tall Whites et les Short Greys ? Les Tall Whites vous ont-il parlé d'autres races extraterrestres ? Comment les considèrent-ils ? Est-ce qu'ils nous ont mis en garde contre le danger constitué par d'autres races extraterrestres ?
Charles Hall : Selon ma compréhension du phénomène, les seuls extraterrestres présents sur les terres de Nellis sont les Tall Whites. Cependant, je suis plutôt certain que les Tall Whites et les Short Greys se détestent mutuellement. Je suis à peu près certain que les Tall Whites n'auraient jamais permis aux Short Greys de venir dans une zone voisine de leurs propres bases et de leurs propres habitations ou dans quelque endroit où leurs enfants pourraient jouer etc. Pour cette raison, je ne crois pas qu'il y ait des Short Greys sur l'Aire 51, sur l'Aire 52 ou dans les autres zones de Nellis. Au cours des deux années que j'ai passées sur ces territoires, personnellement je n'ai jamais vu de preuves qui démontrent que les Short Greys se trouvaient dans ces régions ou dans celles de l'Aire 51.
En ce qui concerne votre question relative aux autres races extraterrestres, je cite la chose suivante tirée du 2 e livre MH II, « Millenial Hospitality II, The World We Knew” dans le chapitre “Landing Lights” : « Il y a t-il de nombreuses planètes comparables à la terre dans l'espace ? » demandais-je. “Oui” répondit l'enseignante. “Il y en a un certain nombre. Cependant, les humains sont les seuls êtres que nous avons observés qui vivent si proches de leurs animaux. Par exemple, vous vous sentez bien lorsque vous trayez des vaches, lorsque vous montez un cheval ou lorsque vous jouez avec un chien. Tous ces animaux pourraient vous tuer mais vous utilisez naturellement votre intelligence pour déterminer comment et ce que chaque animal est en train de penser . Donc, vous en prenez naturellement le contrôle. Seuls les humains font cela. Sur la plupart des planètes, une fois que les êtres deviennent intelligents, ils n'ont pas envie d'avoir quoi que ce soit à faire avec les animaux qui sont bien moins intelligents qu'ils ne le sont, donc par conséquent, ils les tuent” . “De même, les humains mangent à peu près n'importe quoi. Sur tous les autres mondes, les êtres intelligents ne mangent que des plantes. Nous, par exemple, mangeons seulement des plantes”. …
“Ce soir-là, l'enseignante vint me dire que je devais faire attention lorsque j'étais seul dans le désert parce “qu'il y avait… de nombreux dangers”. Ce soir là, elle ne m'a pas donné de plus amples explications.”
Karma One: Si les Tall Whites sont les seules créatures vivant à Nellis et dans l'Aire 51 sur Papoose Dry Lake, pensez-vous que les histoires à propos de Short Greys et d'autres groupes extraterrestres vivant là seraient de la désinformation, un écran de fumée ?
Charles Hall : Les Tall Whites ne vivent pas sur l'Aire 51 (Groom Lake) ou sur l'Aire 52 (Papoose Lake). Ils vivent dans des souterrains sur l'Aire 53. Leur base principale est dans une montagne qui est immédiatement à l'Est de l'Aire 53, qui est l'Aire 54. Les Aire 53 et 54 et les parties occidentales des « territoires de jeux du désert du Sud Ouest » (Desert Southwest Game Range) sont connus sous le nom de Dreamland. C'est une région qui est si limitée, surveillée et interdite que j'avais par exemple une carte officielle de l'USGS (ndr: US Geographical Survey est l'autorité gouvernementale qui publie les cartes les plus complètes) qui ne montre et ne détaille aucune des montagnes et des vallées de ces terres. A la place, cette carte ne montre qu'une grande zone blanche baptisée “territoires inexplorés”. Les Tall Whites sont les seules créatures que j'ai personnellement vues dans les désert, les vallées et les montagnes au nord d'Indian Springs, dans le Nevada. Cependant, je suis certain que les “Petits Gris” sont réels et sont ici sur terre.
Personnellement, je ne crois pas que les “Petits Gris” sont ou n'aient jamais été sur l'Aire 51. Ma conviction est que ces “Little Greys” peuvent se trouver ailleurs comme au Nord et à l'Ouest de l'état de Nouveau Mexique. Par exemple, sur base d'un certain nombre d'informations que j'ai personnellement rassemblées au cours des années, je suis à peu près certain que l'incident de Roswell de 1947 était réel et que c'était un vaisseau de “Petits Gris” qui s'est écrasé. Je n'ai jamais personnellement vu un “Little Grey” et je ne le veux pas. Comme je le décris dans MH III, “The Road Home”, j'ai personnellement rencontré et parlé avec un second type d'extraterrestre, ceux que j'appelle les « Norvégiens aux 24 dents ». Je suis certain que la terre est visitée par différentes races extraterrestres. Cependant, je suis convaincu que le gouvernement US diffuse périodiquement de la désinformation et de fausses informations qui font partie d'une campagne visant à générer un “écran de fumée”. Je crois qu'une partie substantielle de l'information relative à l'Aire 51 est de la désinformation et un leurre. Par exemple, les installations de l'Aire 51 sont dans un périmètre rectangulaire clôturé qui ne s'étend que de 6 miles sur 10 miles. Ce périmètre n'est nulle part assez vaste pour abriter une base extraterrestre. C'est également trop petit pour faire venir de façon sécurisée n'importe quel vaisseau extraterrestre fonctionnant à l'antigravité. Les différents terrains qui entourent le seul petit vaisseau de reconnaissance Tall White s'étendent sur au moins un mile un quart. Des terrains de ce type qui accueilleraient un vaisseau intersidéral (Deep Space Craft) s'étendent sur une surface beaucoup plus étendue. Ni les généraux extraterrestres, ni les généraux de l'Air Force ne seraient d'accords pour amener un vaisseau d'une telle puissance à proximité des installations de l'Aire 51.
Interview Sweeps Fox - Source : karmapolis
Une autre interview intéressante de Charles Hall
Source : patrick.delsaut
Contrairement aux idées reçues ou véhiculées par les militaires américains, les extraterrestres "Grands Blancs" sont une race profondément spirituelle et pacifique.
Alors qu'il occupait un poste d'observateur météo au Nevada sur la Base Nellis de l'US Air Force, entre 1965 et 1967, Charles James Hall eut des contacts avec un groupe d'êtres aliénigènes (non humains), des "Grands Blancs" ("Tall Whites"), qui y séjournaient et effectuaient des transferts de technologie avec des militaires américains. Son expérience a été consignée dans un gros ouvrage en trois volumes publié aux États-Unis en 2003 et intitulé "Millennial Hospitality".
Bouleversé - pour ne pas dire traumatisé - par cette expérience et craignant pour la sécurité de sa famille, Charles Hall a préféré attendre que ses enfants aient grandi et soient devenus indépendants, mais également d'avoir lui-même le recul nécessaire, avant de raconter l'expérience de ses contacts avec ces extraterrestres humanoïdes de grande taille, à la peau blanche et crayeuse et aux grands yeux bleus en amende, qui ne sont pas sans évoquer les mystérieux "Corteum" . C’est pourquoi il s'est livré à des confessions de façon très tardive.
Mais il s’est bien rattrapé depuis et n’en finit plus désormais de raconter son étrange histoire !
Suite à la parution de son livre en 2003, deux importantes interviews ont notamment été accordées, l’une au philosophe Michael Salla en 2004, l’autre au journaliste Karma One en 2005.
Après avoir été bouleversé par le témoignage de Charles Hall, le Docteur Salla, auteur de la première interview (également publiée dans le N° 38 de la revue "Nexus" de mai 2005), n’était cependant pas au bout de ses surprises. Par l’intermédiaire de la télépathe Eve Marchal, il vient en effet d’entrer lui-même en contact avec un Grand Blanc du nom d’Eyden, et de découvrir cette race sous un jour tout à fait nouveau, très différent en tous cas de celui qu’il avait imaginé il y a quelques années.
Olivier de Rouvroy
I. Première interview de Charles J. Hall
Michael Salla : Pourquoi aviez-vous initialement qualifié votre livre de "fiction" ?
Charles Hall : Il fallait que je me protège, ainsi que ceux qui travaillaient avec moi. J’ai changé les noms pour protéger des innocents, d’anciens militaires et me protéger moi-même. Plusieurs noms ont été modifiés à la demande des intéressés eux-mêmes, car certains ont subi de graves pressions psychologiques et des traumatismes. Mais tout ce qui est relaté dans mon livre est authentique et aussi fidèle que possible à mon expérience des événements.
Michael Salla : Comment vous êtes-vous souvenu de toutes les conversations rapportées dans le livre ?
Charles Hall : Je ne tenais pas de journal mais consignais l'essentiel dans un registre. Pour écrire le livre, je me suis fié surtout à mes souvenirs ; j’ai revécu mes émotions et cela m’a aidé à restituer les événements et les conversations. Les épisodes clefs étaient gravés dans ma mémoire. Il m’a fallu résumer de nombreuses conversations et certaines ont dû être reconstituées. C'est le cas pour mes entretiens avec des membres des forces aériennes. Mes conversations avec les Grands Blancs [G.B.] sont presque transcrites mot à mot, pour la simple raison que ceux-ci parlaient très peu. Les individus masculins ne parlaient presque pas, alors que les femmes G.B. étaient plus bavardes. S'ils ne portaient pas leur équipement de transmission, les G.B. ne communiquaient pas du tout.
Michael Salla : Quand avez-vous commencé à écrire le livre ?
Charles Hall : Pendant la période de 1965 à 1968, j’ai d’abord raconté mes expériences à quelques proches. Lorsque j’ai disposé d'un traitement de texte en 1985, j’ai commencé à les taper puis à les enregistrer sur disquettes. Ce fut un processus lent, pour des raisons techniques autant qu'émotionnelles, parce que cela me faisait revivre ces expériences. En 1965, il m’avait fallu, six mois avant de maîtriser les peurs que j’éprouvais vis à vis des G.B.
Michael Salla : Quand le livre a-t-il été terminé ?
Charles Hall : Dans les années 1980, mais à l'époque je n'ai pas réussi à trouver un éditeur intéressé, et à cela se sont ajoutées mes responsabilités familiales. En 2002, me trouvant sans emploi, j’ai commencé à corriger, retravailler puis publier ce que j’avais déjà écrit. Mon éditeur, Firstbook, n'est pas entièrement satisfait de ce qu'il a publié jusqu'ici et voudrait remanier encore le premier volume. L’essentiel du livre a été en chantier de 1985 à 2002, et l'édition définitive réalisée entre fin 2002 et fin 2003.
Michael Salla : Avez-vous pris des photos ?
Charles Hall : Jamais. Lorsque j’étais sur le terrain, mon premier souci était de rester en vie, il n'était pas question de prendre des photos. Au début, je croyais rêver, (c'est pour cela que l'Aire 51 a été baptisée "pays du rêve"). Plus tard, lorsque j’ai réalisé que les G.B. étaient authentiques, j’ai tenté, à chaque retour à la base, de m'en laver la mémoire, ce qui excluait l'idée de prendre des photos. Craignant, en outre, d'importuner les G.B., j’ai toujours observé un comportement très réservé. Il eût été imprudent de les photographier, cela aurait pu les fâcher ; et de toute façon ils étaient capables de détruire ces preuves, car ils avaient accès à toutes mes affaires personnelles.
Michael Salla : Savez-vous si d'autres militaires ont pris des photos des G.B. ?
Charles Hall : Non, mais je me souviens avoir aperçu des photos de G.B. qui m’avaient semblé authentiques dans un livre de poche publié au début des années 1990 ; elles avaient été prises par une mère au foyer qui se rendait à Albuquerque au Nouveau Mexique ; tandis qu'elle attendait au bord d'une grand route, elle vit passer un véhicule de reconnaissance et prit six photos de G.B. qui mesuraient environ 2 mètres de haut.
Michael Salla : Avez-vous reçu des pressions ou des recommandations de ne pas divulguer les événements de Nellis ?
Charles Hall : Non. L'information météorologique n'a jamais fait partie des domaines classifiés. En tant qu’observateur météo, je n'ai jamais été obligé de prêter serment de silence. Les ordres que je recevais étaient classifiés, mais pas mes activités. Cette décision avait été prise par un comité qui incluait les G.B. et certaines personnes du Pentagone. J’étais théoriquement libre de communiquer avec les G.B. sans avoir à le rapporter systématiquement.
Les généraux américains étaient prêts à tout pour obtenir des transferts de technologie. Ils ont même autorisé les G.B. à tuer les militaires qui les insulteraient, les menaceraient ou leur feraient du tort. Les hauts responsables étaient prêts à sacrifier des subalternes à la vindicte des G.B. plutôt que de voir entravé l'échange de technologies.
Michael Salla : D'autres militaires ont-ils été mis à mort pour avoir agressé ou irrité des G.B. ?
Charles Hall : En septembre 1965, un incident s’est produit près de la montagne à Indian Springs où les G.B. avaient leur base principale. Les G.B. avaient été pris pour des moutons "bighorn" par deux chasseurs qui avaient loué des chevaux avec l'intention de ramener un trophée du désert. Ils s’étaient séparés et l'un d'eux a tiré sur l’un de leurs enfants. Les G.B. l’ont attrapé et remis aux gardes militaires humains. Ceux-ci l'ont exécuté et ont fait croire à un décès accidentel. Puis les gardes ont retrouvé le deuxième chasseur ; ils l’ont passé à tabac et mis au trou pendant environ six semaines.
Habituellement, si on ne blessait personne, qu'on n'était pas armé et qu'on se comportait en simple randonneur, les G.B. n'intervenaient pas. Ils ne tuaient que s'ils étaient menacés ; leur doctrine semblait être : « Œil pour œil, dent pour dent ». Si on ne faisait rien pour les effrayer ou les agresser, au pire ils effarouchaient pacifiquement les intrus pour les éloigner.
Charles Hall et les "Grands Blancs" en Arizona
Michael Salla : Qu'est-ce qui vous fait dire que les généraux étaient si avides de recevoir de la technologie des G.B. ?
Charles Hall : Ils auraient fait n'importe quoi pour entretenir de bonnes relations avec les G.B., afin d'obtenir leur technologie. Ceci fut corroboré par une conversation que le G.B. "instructeur" eut un jour avec moi. Les généraux américains ne s'opposaient jamais à ce que les G.B. tuent des militaires qui auraient causé du tort à l’un de leurs enfants. Les G.B. échangeaient des technologies telles que des systèmes radios et communications, mais rien de ce qui touchait aux vitesses supraluminiques. Ces échanges se limitaient à ce qui pouvait leur être utile, comme l'accès à nos systèmes de télécommunication. Ils aidaient au développement de véhicules à propulsion nucléaire, mais pas à celui de systèmes de propulsion pour le voyage spatial. Ils ne partageaient pas avec les généraux leurs technologies antigravité destinées à l'espace.
Les généraux américains les accompagnaient parfois dans leurs véhicules de patrouille dont la technologie était donc partagée, puisque ces véhicules étaient construits sur Terre avec nos matériaux et l'aide des militaires US. Les G.B. assistaient aussi à des réunions secrètes et participaient à des recherches communes de technologie.
Michael Salla : Dans le premier tome de votre ouvrage, vous racontez un incident au cours duquel vous avez reçu des images mentales émises par les G.B. concernant l'époque de la colonisation de l'Ouest. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Charles Hall : Alors que j’étais en train de lire un livre sur l'histoire de la colonisation de l'Ouest, dans la région de la Death Valley [Vallée de la Mort] et d’Indian Springs, j’ai reçu des images mentales de G.B. dépeignant ce qui s’était réellement passé à l'époque dans cette région.
Michael Salla : Estimez-vous que les images mentales que vous avez captées correspondent à des événements passés réels, ou bien sont-elles des illusions ?
Charles Hall : J’ai senti que ces images mentales reflétaient des événements historiques réels. Et j’ai observé que lorsque les G.B. partaient, les visions cessaient. Cela laisse supposer qu’ils souhaitaient me transmettre une information historique.
Michael Salla : Dans votre livre, vous situez en 1954 les premiers rapports de la présence de G.B. dans la région de Nellis. Y a-t-il des indices qui, selon vous, révéleraient leur présence. à une date antérieure ?
Charles Hall : Les plus anciennes informations concernant la présence de G.B.sur la base de Nellis datent de l'année 1954, mais ils étaient sans doute déjà là quelques années auparavant.
Michael Salla : Pensez-vous que les G.B. soient présents dans la région d’Indian Springs depuis plus de 200 ans ?
Charles Hall : Oui. On m'a informé que Pamela (une femme G.B.) était née dans cette vallée à l'époque de James Madison, le quatrième président des USA (1809-1817). Ils semblent apprécier ce lieu principalement pour la chaleur de son climat ; c’est un élément d'importance pour eux.
Michael Salla : À votre avis, pour quels motifs les G.B. séjournent-ils sur la Terre ?
Charles Hall : Ils l'utilisent comme base pour leurs longs voyages spatiaux, exactement comme l'US Navy utilise certaines îles dans le Pacifique. Ils se servent de cette base pour réapprovisionner et réparer leurs vaisseaux. Ils parcourent de longues distances dans l'espace et ont besoin de bases telles que la Terre où ils trouvent tout ce dont ils ont besoin.
Étant donné que des vaisseaux arrivaient et repartaient avec régularité, j’en ai déduit qu'il s'agissait de transports commerciaux.
Charles Hall et les "Grands Blancs" en Arizona
Michael Salla : Pensez-vous que les visiteurs n'aient d'autre objectif que d'utiliser la Terre comme base spatiale et qu'ils n'aient aucune intention de nous coloniser ni de contrôler nos gouvernements ?
Charles Hall : Oui, c'est ce que je crois. Les G.B, sont très satisfaits de ce qu'ils ont. Ils ont une longévité dix fois supérieure à la nôtre, mais ce lent vieillissement implique qu'ils mettent aussi dix fois plus de temps à guérir de leurs blessures ou maladies. Ils m’ont observé attentivement lorsque je me suis remis d'une légère lésion en une journée et ils ont été abasourdis de voir à quelle vitesse je pouvais guérir. Cependant ils préfèrent rester entre eux et ne cherchent pas du tout à coloniser la Terre ni à dominer nos gouvernements. Ils ne s'inquiètent que d'entretenir de bonnes relations avec le gouvernement des États-Unis afin de conserver leur base.
Michael Salla : Dans le troisième tome, vous décrivez un incident au cours duquel vous avez été brûlé par une arme à micro-ondes. Pouvez-vous en reparler ?
Charles Hall : Les G.B. possèdent une arme en forme de stylo qui peut provoquer une vive douleur, la mort ou simplement le sommeil. Un jour, un garde de la CIA, qui aidait une femme G.B. à monter les marches du bâtiment du Congrès, l’a heurtée par inadvertance et elle l’a menacé, à tel point qu'il a dû la convaincre de le laisser en vie. Cette "arme-stylo" peut être utilisée pour stimuler les fréquences des atomes de calcium présents dans notre organisme, ce qui provoque de vives sensations de brûlure, tout en ne brûlant pas vraiment. Lorsque cette arme est réglée pour agir sur l'iode, elle peut causer des hémorragies mortelles. C’est un peu comparable à ce que fut la grande peste noire, lorsque les gens saignaient à mort parce que leurs artères affaiblies devenaient poreuses.
Lorsque l’arme est réglée pour stimuler les fréquences des atomes de sodium, elle provoque des décharges nerveuses extrêmement douloureuses, et réglée à forte puissance, elle peut même entraîner la mort. La stimulation des atomes de calcium donne le résultat inverse : calme, relaxation, sommeil, etc. parce que cela détend les nerfs. Quant à l'action sur les atomes d'iode, cela provoque la mort par hémorragie interne à la suite d’une modification chimique qui rend poreuses les parois des artères ; le sang se répand dans les tissus environnants puis dans l'organisme ainsi que dans la glande thyroïde.
Les G.B. que j’ai rencontrés étaient tous d'humeur instable, passant sans transition de l'amitié à l'hostilité.
NOTA : Nous découvrirons, grâce au témoignage d’Eve, que cette soi-disant "instabilité" n’est en réalité qu’une forme de réactivité à notre propre manque de maîtrise de nos émotions. Étant capables de capter les pensées et les sentiments des humains, les Grands Blancs font ainsi obstacle à notre côté négatif, ce qui, pour un esprit insuffisamment préparé, peut facilement laisser supposer une attitude irascible, voire hostile à notre égard. Mais il n’en est rien. C’est nous-mêmes et nos propres peurs qui générons cette impression d’instabilité.
Suite à un malentendu que j’ai décrit dans mon livre, j’ai moi-même été atteint par l'arme-stylo réglée sur l'iode. J’ai immédiatement été victime d’une hémorragie interne. Je me souviens qu'une femme G.B. amicale s'est alors approchée de moi et elle s’est mise à exécuter une sorte de danse gracieuse autour de moi. Son âge correspondait à celui d’une jeune fille humaine de 19 ans. Elle mesurait environ 1m80. Elle avait un compagnon masculin qui, je pense, devait être son frère, car ils se comportaient comme des jumeaux. Entre elle et moi il n'y avait aucune crainte. Souvent, le soir, lorsque je préparais les ballons-sondes pour le lendemain, elle venait se placer près de moi, à côté ou légèrement en arrière. Elle s'approchait souvent à portée de mon bras sans montrer la moindre frayeur ; et cette confiance était réciproque. Par contre, son frère était visiblement craintif et gardait toujours ses distances (15 à 20 mètres). Manifestement je ne lui déplaisais pas, mais il restait méfiant. Par exemple, il ne me tournait jamais le dos lorsqu'il se trouvait à moins de 30 mètres.
Charles Hall et les "Grands Blancs" en Arizona
Michael Salla : Si cet incident a pu se produire malgré le climat de confiance que vous aviez réussi à établir avec les G.B, cela n’implique-t-il pas que les autres membres de l'humanité soient encore plus menacés que vous ne l’avez été ?
Charles Hall : C'est un fait que, malgré les bonnes relations et les services rendus, les G.B. sont toujours susceptibles de diriger leurs armes contre nous. Ils ont des tempéraments et des personnalités très différentes des nôtres. Le capitaine G.B. que j’ai décrit dans mon livre était un type assez sympathique, mais il ne s'approchait des humains que lorsque c'était absolument nécessaire. Il ne s'intéressait à nous que dans la mesure où cela pouvait l'aider dans ses activités. Il y avait un écart culturel évident, comparable à celui qui existe entre la culture japonaise et la nôtre, ce qui n'empêche pas un américain de devenir l’ami d’un japonais. Il y avait en fait de très importantes différences de personnalité d'un G.B. à l’autre.
Michael Salla : Quand avez-vous communiqué directement avec les G.B. pour la dernière fois ?
Charles Hall : Après avoir été affecté au Vietnam en 1967, je n’ai plus eu aucun contact avec les G.B.
Je voudrais ajouter que tout n’a pas été raconté dans mon livre. Par exemple, en 1965, lorsque des généraux américains ont fait visiter aux G.B. les quartiers où je logeais. La première fois, j’ai vraiment cru rêver ! Je me souviens que les généraux proposaient aux G.B. de les faire accompagner par des officiers à bord de leurs vaisseaux de reconnaissance. Les généraux américains envisageaient que deux jeunes officiers accompagnent les G.B. dans leur véhicule spatial "long courrier" (un engin de couleur noire conçu pour rejoindre d’autres étoiles de notre galaxie). J'ai aussi vu de mes yeux des généraux américains embarquer et débarquer, avec leurs homologues G.B., de leurs véhicules de patrouille qui étaient eux de couleur blanche.
À l’époque, j’ai estimé risqué d'inclure cela dans mon livre, car je soupçonnais qu'il s'agissait d'informations sensibles, probablement secrètes. Les G.B. observaient à la lettre les accords conclus. J’ai moi-même passé un accord avec eux. Il avait été convenu que jamais ils ne s’approcheraient de moi subrepticement, afin de ne pas m’effrayer, et je leur avais promis la réciproque. Cet accord fut strictement observé dans toutes les relations que j’ai eues avec les G.B. et cela m’a aidé à survivre. J’ai compris que, une fois un accord conclu, on pouvait fondamentalement leur taire confiance.
Charles Hall
Interviewé par Michael Salla le 2 décembre 2004
Annexe à la première interview : commentaire du Docteur Michael Salla.
Charles Hall et les "Grands Blancs" en Arizona
« J’ai trouvé Charles Hall crédible et convaincant dans ses réponses à mes questions. Il a fait preuve d'intégrité et s’est montré sincère, se contentant de ne décrire que des éléments de sa propre expérience. Il a relaté son histoire de manière objective, sans en omettre la dimension émotionnelle vivace, permettant de prendre en compte son état d'esprit, ce qui incline à ne pas douter du sérieux de ses déclarations. Les émotions que Charles dépeint avec objectivité donnent la possibilité de mesurer à quel point ce qu'il a vécu a bouleversé sa vision du monde et celle de ceux qui l'entouraient. Ce qu'il rapporte des relations des généraux américains avec les G.B. illustre bien le strict respect de leurs accords mutuels.
Les G.B. sont très formalistes, une caractéristique qui semblait bien convenir aux militaires US. Ceci s’est vérifié lors des échanges de technologies dont Hall dit qu'ils étaient d'importance vitale pour les Américains. Les G.B. firent clairement entendre que seules certaines catégories de technologies seraient échangées et que celles qui concernaient les voyages dans l'espace en seraient exclues. Selon Charlie, ces échanges concernaient la construction des véhicules patrouilleurs utilisés par les G.B. Il est possible que le fait de livrer aux G.B. les matériaux nécessaires à cette construction ait offert aux scientifiques américains certaines indications sur la conception de leurs vaisseaux spatiaux.
Une question subsiste aujourd’hui : Quels avantages les G.B. ont-ils reçus en échange de la permission accordée aux Américains d'assister à la construction de leurs grands vaisseaux spatiaux ? Si la technologie nécessaire à la construction de petits véhicules a été livrée, quelles ressources terrestres ont pu être proposées en échange ?
Nota : Eve répond partiellement à cette question dans la troisième partie de ce texte.
Charles Hall s'avère être un personnage intelligent et réfléchi. Il possède une licence en physique et une maîtrise en physique appliquée (nucléaire), et il pense avoir compris les principes fondamentaux du système de propulsion utilisé par les G.B. dans leurs vaisseaux spatiaux.
Il n'y a pas été par quatre chemins pour décrire le comportement intimidant des G.B. et leur promptitude à utiliser des moyens potentiellement mortels pour se protéger, et surtout pour protéger leurs enfants contre les éventuelles menaces, que celles-ci soient volontaires ou accidentelles. Ainsi qu'il le décrit dans ses livres, le simple fait de surprendre ou d'effrayer leurs enfants suffisait à ce qu'ils menacent les humains avec leurs armes perfectionnées.
Au cours de l'interview, il a simplement déclaré que les G.B. ne réagissaient que lorsque, pour l'une ou l'autre raison, ils se sentaient menacés. Il a précisé que le principe "œil pour œil, dent pour dent", qu'ils observaient est somme toute traditionnel dans la société humaine : c'est la fameuse loi du talion à laquelle se réfère la Bible.
NOTA : Michael Salla a découvert récemment qu’en réalité, les Grands Blancs ne pratiquent pas la loi du talion. Mais comme ils captent les pensées des humains, ils savent se prémunir instantanément contre leurs velléités agressives ou belliqueuses, même lorsqu’elles sont soigneusement dissimulées.
Charles s’est montré moins sévère à l'égard des G.B. au cours de son interview que dans ses livres. J'espère pouvoir éclaircir un jour cette contradiction, car elle devrait aider à en savoir plus sur les raisons de la présence des G.B. sur la Terre. Charles a soutenu qu'ils n'avaient pas d'intentions colonisatrices ni de volonté de contrôler les gouvernements terrestres. Il a fait la comparaison entre cette base G.B. et les bases militaires américaines dans le Pacifique ou en Italie, où le principe consiste à faciliter les opérations, tout en respectant les souverainetés et les mœurs locales. De même que le gouvernement et les militaires US sont sensés ne pas avoir l'intention d'exercer un contrôle sur l'Italie, les G.B. n'auraient pas l'intention de contrôler la Terre.
Cependant, si les G.B. ont besoin de la Terre en tant que base pour leurs activités commerciales trans-espace, il serait sans doute naïf de croire qu'ils n'ont pas la moindre intention de se mêler des affaires humaines et d'influencer les institutions politiques. L’histoire humaine à montré que, lorsqu'une puissance installe une base sur un territoire étranger, il est ensuite plus difficile de l'en faire partir et de l'empêcher d'intervenir dans les affaires politiques locales. Cette étape est peut-être déjà franchie, suite à des accords passés entre les G.B et des comités humains secrets chargés des affaires extraterrestres.
NOTA : Là encore, il est probable que le Docteur Salla ait désormais changé de point de vue et ne croit plus du tout aujourd’hui aux éventuelles velléités des G.B.de contrôler nos gouvernements.
En se basant sur certains échanges et sur les visions historiques reçues, Charles pense que les G.B. sont chez nous au moins depuis le début des années 1950, voire depuis deux siècles ou davantage. C'est une question cruciale qu'il faudra approfondir, car il est évident que la connaissance de l'époque de la première présence des G.B. sur Terre influencera notre évaluation de leurs ultimes motivations…
En résumé, j'estime que le témoignage de Charles Hall est d'importance primordiale et susceptible d'éveiller l'attention d'un large public. Certains médias commencent déjà à aborder son histoire comme une révélation majeure et son auteur force l'adhésion à ses thèses grâce à son évidente intégrité, sa clarté et sa cohérence. La révélation des expériences de Hall à la base aérienne de Nellis à Indian Springs de 1957 à 1967 sera sans doute déterminante dans la prise de conscience de l'opinion publique de la réalité de la vie extraterrestre et des implications de sa présence pour notre planète. »
III. Eve Marchal permet à Michael Salla d’entrer en connexion avec un Grand Blanc.
Commentaire d’Eve Marchal :
« La question des Grands Blancs est un sujet formidable, mais qui ne va pas dans le sens souvent insipide actuellement décrit et accepté par certains. Cette race a tendance à se méfier des humains, en général. C’est vrai, mais je souhaiterais que la mauvaise impression potentiellement laissée par l’article publié en 2005 dans la revue Nexus (Cf. interview de Charles J Hall par Michael Salla retranscrit ci-dessus) soit atténuée dans le cœur des lecteurs d’ÈRE NOUVELLE grâce à la révélation des échanges chaleureux, mais aussi édifiants, que j’ai moi-même eu l’occasion d’entretenir avec des Grands Blancs. Je ne peux pas accepter qu’ils soient présentés à l’humanité comme une race dangereuse et hostile, capable de tuer des hommes sans aucun état d’âme.
Un jour, alors que je méditais, ma conscience fut projetée vers un Grand Blanc. Bien que surprise, j'entamai le dialogue, car j'avais besoin de comprendre pourquoi ils avaient été dépeints ainsi. C’est un représentant du groupe, assez âgé, que j’ai vu la première fois. Il m'a expliqué qu'ils n'ont jusqu’ici toujours eu à faire qu'aux militaires américains, que ces derniers sont sans foi ni loi, qu'ils sont capables de tuer au nom de leur hiérarchie. Étant donné que les Grands Blancs ont l'usage de la télépathie (contrairement à ce qui est indiqué par Charles Hall dans ses livres et dans ses interviews), ils devancent les pensées de l'homme et se montrent donc parfois subitement froids et menaçants parce qu'ils savent que l'homme a des pensées qui sont susceptibles d’évoluer rapidement vers la violence. Ils devancent alors la menace, par obligation.
Cet être m’a dit qu’il déplorait de n’avoir à faire qu’à la partie "animale" de notre humanité, qu’il était donc heureux de me rencontrer. Il a ajouté qu’il n’arrivait pas à nous comprendre.
Nous sommes un mystère pour eux, notre comportement leur est totalement incompréhensible ! À un moment, il m’a demandé : « Comment êtes-vous capables de vous entretuer, d’assassiner les vôtres ? Comment êtes-vous capables de vous suicider ? Pourquoi, vous qui vous entourez de présences animales, êtes-vous capables d’en manger ? »
À cela, je n’ai pu que répondre que nous nous sommes trop éloignés de la Source, et que nous avons oublié que tout était Un…
Après un temps de réflexion dans lequel il sondait mon regard, il m’a proposé quelque chose de très important pour les relations humaines du futur : un pacte de non méfiance. Entre nous, dans l’avenir, lorsque nous nous rencontrerons physiquement, je n’aurai pas à avoir peur de lui, et lui n’aura plus à me craindre. C’est une relation nouvelle pour notre humanité, et rassurante.
Depuis ce premier échange, j’ai également rencontré Eyden, un autre Grand Blanc. Il est doux et charmant. Ses cheveux blancs volètent comme un duvet d’autruche, et son regard n'a pas la dureté de "l’ancien", celui que je viens d’évoquer.
Il m’a confirmé qu’il y a des groupes de Grands Blancs sur la Terre depuis très longtemps. Il m’a dit que, pour sa part, il était né ici, mais que ses parents l’avaient ramené assez vite sur leur planète d’origine. Il n’est revenu que très récemment en voyage d’étude chez nous sur la Terre. Alors qu’il est âgé de 300 ans, il n’est en réalité qu’un jeune homme, puisque cela correspond à une vingtaine de nos années. Il ne sait pas encore quelle option de vie il va embrasser, car la notion de travail telle que nous la concevons n’existe pas chez eux. Le travail est conçu par eux comme une collaboration au groupe en fonction de ses capacités personnelles.
Nos relations ont été très amicales. Il espère avoir le courage de frapper un jour à ma porte, car il craint encore les humains.
Je ne savais pas grand-chose de ce que ces êtres faisaient sur notre Terre. "L’ancien" m’avait confirmé qu’ils sont des "découvreurs de planètes" et considèrent simplement la Terre comme une base bien adaptée à la maintenance de leurs vaisseaux.
C’est alors que j’ai fait la connaissance du Docteur Michael Salla, président de l’Exopolitics Institute aux États-Unis. Contrairement à moi, il s’est bien documenté sur la question puisqu’il s’est entretenu avec Charles Hall (Cf. première interview ci-dessus) qui, en tant qu’observateur météorologique, a eu à faire aux Grands Blancs sur Nellis Air Force Base au Nevada, entre 1965 et 1967.
J’ai proposé à Michael de faire le relais entre lui et Eyden, s’il le désirait, car j’avais auparavant demandé à mon ami aux grands yeux s’il pouvait être intéressé par un tel entretien, et il s’était montré honoré et enchanté d’y participer.
Michael a posé de nombreuses questions. Les réponses d’Eyden furent pour moi comme des cataclysmes, tant je me suis retrouvée confrontée à la dure réalité du cynisme des hommes.
- Michael : Comment se déroulent vos contacts avec les hommes ?
- Eyden : Ma race évite le plus possible la vôtre. Les échanges s’en tiennent au strict nécessaire, et toujours avec méfiance puisque nous n’avons de relations qu’avec des militaires.
- Michael : Pourquoi et comment traitez-vous avec les humains ?
- Eyden : Nous avons besoin de ce relais pour pouvoir aller plus loin dans la découverte de la Galaxie. Lorsque l’armée américaine a réalisé notre présence sur son territoire, elle a pensé que nous aider pouvait lui rendre service. Elle nous fournit donc des minerais, de la nourriture et des vêtements, surtout des vêtements d’enfants.
- Michael : Que faites vous de toutes ces choses ?
- Eyden : Nous les troquons. Comme vous le savez, nous sommes des découvreurs de planètes ; en échange du droit d’installer nos bases, nous faisons des cadeaux à ceux qui acceptent nos installations.
- Michael : Est-il vrai que l’armée vous fournit des hommes ?
- Eyden : Oui, tout à fait. Ce sont principalement des condamnés à mort, qui n’ont pas de famille. Personne n’aurait réclamé leurs corps. Les Américains ont des accords avec certains pays d’Amérique du sud. Ces pays leurs fournissent ces condamnés à mort, et ils nous les amènent dans des camion bâchés.
- Michael : Qu’est-ce que vous en faites ?
- Eyden : Nous les parquons. Plusieurs planètes sont équipées de parcs qui ressemblent à ce que vous pourriez nommer des zoos. Des humains, comme d’autres races, y sont installés. On reproduit leur cadre d’origine, le nécessaire est fait pour qu’ils s’y sentent bien. C’est d’ailleurs ce qui arrive puisqu’ils s’y reproduisent naturellement. C’est pour cela que nous demandons des vêtements pour enfants.
Devant ce fait si froidement énoncé, je demande à Eyden si cela ne leur pose pas un problème de conscience, un problème éthique.
- Eyden : C’est votre race qui devrait être mal à l’aise avec cela. Des membres de votre humanité se permettent de livrer les leurs, et ils se permettent de le faire alors que la majorité des vôtres est dans l’ignorance la plus complète de ce qui se passe. De notre point de vue, nous donnons une chance à ces humains de vivre dans des conditions inespérées puisqu’ils étaient condamnés à une mort inévitable sur la Terre. Bien qu’ils n’aient aucun espoir de retour, ils sont tous heureux de leurs nouvelles conditions de vie. Ils sont nourris, ont parfois une famille, un cadre de vie agréable. Si problème de conscience il y a, je le répète, c’est à vous qu’il devrait se poser.
- Michael : Pourquoi l’armée vous fournit-elle des humains ?
- Eyden : Les militaires américains ont besoin de savoir sur quelles planètes l’être humain peut s’acclimater. Ils savent qu’ils vont devoir trouver d’autres lieux d’accueil, et ils en sont actuellement à cartographier différents lieux possibles d’implantation de colonies. Cependant, tout cela est secret car ils n’envisagent pas de faire partir l'ensemble de l’humanité si le besoin se présentait.
- Michael : Eyden, où êtes-vous actuellement ?
- Eyden : Je me trouve dans une base sous-marine au large d’Honolulu. C’est une base entièrement occupée par des contingents de races extraterrestres, il n’y a pas d’humains ici. Nous venons pour observer les mouvements tectoniques et surveiller les volcans. Nous venons aussi pour préparer les temps à venir.
Voilà pour les grandes lignes de cet entretien psychique. Michael Salla, ainsi qu’une personne qui l’accompagnait, furent très surpris par la corrélation extraordinaire entre ce qu’ils ont entendu lors de cette soirée et les échos qu’ils avaient obtenus d’autres sources.
Toutefois, certaines informations ne peuvent encore êtres partagées pour des raisons évidentes de sécurité. »
Transmis par Eve Marchal à "ÈRE NOUVELLE" le 4 avril 2006
Charles Hall et les "Grands Blancs" en Arizona
IV. Épilogue : Extrait de la lettre d’Eve Marchal à Olivier de Rouvroy.
« Bonjour Olivier,
Je viens de parler au représentant des Grands Blancs que j'avais rencontré la première fois. Il m'a demandé quel était le regard sur eux que tu avais choisi de faire connaître. Je lui ai communiqué l'essence de mon texte, et il en a été heureux. Il m'a demandé dans quel pays cela serait mis en lumière, et lorsque je lui ai répondu : "la France", j'ai entendu un "Humm" de satisfaction. Il va même prendre la peine de ressentir les vibrations émises par tes lecteurs.
Nous en avons profité pour parler un peu. Il s'appelle Aluxanryl. D'ailleurs en le quittant j'ai écorché son nom en le nommant Alexanryl, et il a immédiatement rectifié. (Je me rappelle que l’une des premières choses qu’Eyden m’avait dites, c’est que ses parents avaient choisi pour lui un prénom humain car il était né sur la Terre.)
Je lui ai demandé si le champ télépathique des hommes le dérangeait.
« Ah, tu sais cela aussi, » m’a-t-il répondu, « effectivement, cela nous affecte, surtout nos enfants, et c'est pour cela que nous ne les gardons pas longtemps ici, que nous les ramenons sur notre planète. Nous sommes obligés d'avoir une grande rotation des membres de notre communauté ici, car ce champ télépathique est difficilement supportable. »
Il m'a interrogé sur ce que je faisais. Il ne savait pas que nous nous occupions de faire connaître le temps fractal, le fonctionnement des vaisseaux, nos amis et leur référendum mondial…
« - Je vais voir comment nous pouvons vous aider », a-t-il conclu.
Tu vois, Olivier, tu aides à faire connaître sa communauté, et il aidera la nôtre s'il le peut.
Amitiés. Eve »
Source : patrick.delsaut
"Nous avons déjà les moyens de voyager parmi les étoiles, mais ces technologies sont verrouillées dans des projets classifiés, et seule une action divine pourrait faire qu'elles soient utilisées au bénéfice de l'humanité.... Tout ce que que vous pouvez imaginer, nous sommes en mesure de le réaliser. Nous avons ce qu'il faut pour ramener E.T. à la maison". Ben Rich, ancien patron de la branche "Recherches Avancées" de Lockheed, lors d'une conférence à l'UCLA le 23 mars 1993, deux ans avant sa mort.
57 races d’extraterrestres.
Extrait du livre de S. Greer "Vérités cachées"
Toutes ces révélations ne nous ont encore rien dit les "Aliens" eux-mêmes, terme beaucoup trop générique. Qui sont ces entités extraterrestres, ces civilisations, qui visiblement nous visitent depuis fort longtemps, en provenance de systèmes solaires très variés ? Les experts en ufologie ont recensé 57 races ou espèces extraterrestres. Parmi elles, près d'une dizaine fréquentent couramment notre planète, certaines habitant en permanence des bases souterraines. Parmi celles-ci figurent les Petits Gris, appartenant à un ordre biologique différent du nôtre, puisqu'ils sont des reptiliens D'autres au contraire, nous sont tellement semblables, comme les Grands Blonds les Ummites, qu'ils peuvent se promener parmi nous et passer inaperçus... Certains nous auraient-ils adressé des messages nous invitant au désarmement de la planète ? Le gouvernement secret a-t-il passé des accords avec une race ou une autre, pour protéger notre humanité d'une menace ? ou bien pour marchander un savoir technologique très avancé, l’acquérir et s’offrir des voyages interplanétaires top secrets, voire la création de bases sur la planète Mars, dans la perspective d’une planète Terre ravagée par la folie humaine ? De nombreuses hypothèses ont été avancées à ce sujet. Source : incroyables-verites