Rods, des petits bâtons de lumière

 Les rods se présentent sous la forme de petits objets allongés, souvent dotés d'« ailes », qui apparaissent parfois dans des vidéos. Les fulgures (« Rods » en anglais) font partie des dernier-nés de la cryptozoologie. Ils s'agirait de créatures volant si vite dans les airs que l'œil humain ne serait pas capable de les voir.

Rods, les serpents du ciel

Les Rods, Extraterrestres ou naturels ?


Photos de RODS  prises avec un appareil fixe pour voir les animaux de jour et de nuit, qui ne se déclenche que quand cela bouge. En Abitibi (Québec) (envoyées le 08-12-2014)



 
Depuis 1994, les témoignages se multiplient attestant de la présence de mystérieuses créatures serpentines dans nos cieux.
  
Ces « barres » ou rods sont-elles d’essence extraterrestres

ou s’agit-il d’une nouvelle espèce terrestre ?

19 mars 1994, Santiago Ytturia installe en toute hâte son caméscope sur un pied dans le jardin de sa maison de Monterrey, au Mexique. Au cours des semaines précédentes, cette zone a été le théâtre d’un cortège d’apparitions inconnues et Santiago est déterminé à saisir sur cassette le passage de l’un de ces mystérieux objets non identifiés. Lorsque tout est prêt, il se met patiemment à scruter le ciel. Après un moment d’attente, il commence à perdre espoir et, alors qu’il est sur le point de renoncer à sa surveillance attentive, un éclair illumine soudain le ciel mais disparaît aussi vite qu’il était apparu, le laissant abasourdi.

Après avoir attendu en vain d’autres manifestations, notre homme en proie à une vive excitation finit par défaire sa caméra du pied afin de visionner la vidéocassette pour s’assurer qu’il n’a pas eu la berlue. En repassant le film image par image, il voit distinctement un ovni briller dans le ciel. Mais ce qui l’étonnera encore plus, c’est ce qu’il découvre un peu plus loin. Peu après l’éphémère apparition de l’objet volant, Ytturia observe une image très brève, mais parfaitement nette, d’un objet allongé et pointu à ses extrémités, qui traverse l’écran à une vitesse incroyable. Il repasse plusieurs fois la séquence : cet objet se déplace bien trop vite pour qu’il s’agisse d’un oiseau ou d’un insecte et on ne peut le voir qu’en déroulant la bande image par image. Il comprend immédiatement qu’il a enregistré un phénomène unique. En revanche, la nature du phénomène et ses rapports éventuels avec l’activité extraterrestre qui l’a précédé restent un mystère.


Depuis ce premier film, des objets inconnus du même genre, baptisés « barres », ont été filmés en vidéo. L’américain José Escamilla, producteur de films vidéos et réalisateur, est le premier à avoir enquêté de façon approfondie sur cet étrange phénomène. Aujourd’hui, il a mis en place une équipe d’enquêteurs indépendants et, grâce à la démocratisation du caméscope, il a pu se procurer des séquences filmées spectaculaires dans le monde entier, du Royaume-Uni jusqu’au Mexique en passant par le Canada, la Norvège et les États-Unis. Escamilla possède même des séquences de « barres » évoluant sous l’eau. Malgré la prolifération de ces documents, le phénomène n’a pas encore livré ses secrets.


Les avis sur l’origine de ces étranges objets sont partagés. Selon certains spécialistes, il s’agirait d’un phénomène extraterrestres, puisqu’il a été observé pendant des périodes de forte activité ovni. Pour d’autres, en revanche, il faut y chercher la manifestation d’une nouvelle forme de vie terrestre. Les sceptiques, quant à eux, renvoient ces théoriciens dos à dos, en estimant qu’il s’agit peut-être tout simplement du vol d’oiseaux ou d’insectes, voire de trucages au moment de la prise de vue. Malgré cette diversité d’opinions, l’examen détaillé du stock important de vidéos témoignant de ce phénomène a révélé un certain nombre de caractéristiques communes. Ainsi, la « créature », de forme cylindrique, mesure entre 10 cm et 3 mètres de long, peut voler jusqu’à 300 km/h et semble se déplacer grâce à une membrane solide et ondulante qui vibre à grande vitesse de chaque côté de son « corps ».
Selon Jim Peterson, directeur-adjoint de l’association MUFON du Colorado, « il est très difficile d’observer des « barres » à l’œil nu. En règle générale, elles apparaissent de façon si éphémère et se déplacent si rapidement que le cerveau humain ne parvient même pas à capter leur passage. Par conséquent, elles sont passées pratiquement inaperçues jusqu’à l’invention du caméscope, qui a permis de les filmer et de les découvrir par hasard grâce à la décomposition de l’image. » Pourtant, malgré une vitesse de prise de vue pouvant aller jusqu’à 30 images par secondes ( elle était jusqu’à présent de 25 images/s ), même les bonnes caméras vidéos professionnelles ne permettent toujours pas d’obtenir une image nette de ces fameuses « barres » qui se déplacent à des vitesses beaucoup trop élevées. Il est en effet techniquement impossible de filmer un petit objet qui se déplace à 200 km/h à très haute altitude sur plus de quelques images. Pour les mêmes raisons, on obtient généralement une image floue qui n’a pas encore permis de déterminer précisément certains aspects de leur morphologie, comme par exemple la présence d’une tête ou d’yeux.



José Escamilla attend beaucoup de l’évolution rapide des technologies : « Nous voudrions disposer d’une caméra capable d’enregistrer 500 images par seconde ! A cette vitesse, il devient possible, par exemple, d’immobiliser le déplacement d’une balle de revolver et nous pourrions alors en savoir plus sur la structure de cette créature. » Car c’est justement cette absence de détails qui a suscité de nombreuses critiques. Ces objets cylindriques auraient une origine bien plus simple que ne veulent le croire certains : il pourrait par exemple s’agir simplement de reflets sur l’objectif, ou encore d’oiseaux ou d’insectes. Escamilla a pourtant une explication technique pour réfuter ces objections. Un reflet dans l’objectif ne peut se déplacer lorsque l’appareil est dans une position statique. Il dispose également de séquences où des oiseaux et des insectes ont été filmés en même temps que ces mystérieux objets : « A une vitesse d’obturation de 1/10 000ème de seconde, vous pouvez

immobiliser le vol d’un oiseau ou d’un insecte, afin de l’identifier. En revanche, le vol de ces objets est tellement rapide que dans la plupart des cas, on n’obtient qu’une forme indistincte. De plus, des détails tels que ces membranes ondulante montrent que ces créatures, quelle que soit leur nature, ne sont pas des organismes biologiques connus. Il reste à découvrir de quoi il s’agit vraiment. »
Source : envol-spiritualite






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