Histoires magiques


En ce 1er juin 1876, ça fait longtemps que L’impératrice Eugénie a quitté le pouvoir. Napoléon III, renversé, broyé par l’histoire, elle n’a plus que le titre d’impératrice, mais il est bon de compter sur elle, lors d’une grande réception. Le beau monde aime fléchir devant l’impératrice...

la vision de Eugénie de Montijo
image : la vision de Eugénie de Montijo - Les émanants



 Et la voici à la préfecture de police à Paris où le grand monde se presse. On aime partager quelques propos avec elle, mais au bout d’une heure, prise par la chaleur, elle sent qu’il serait bon de passer devant un miroir afin de se repoudrer. Comme elle connaît les lieux, elle glisse vers le boudoir, mais au moment où elle va effectuer cette opération de charme, devant elle, dans le gigantesque miroir, des images lui viennent, épouvantables, terribles. Là, son fils, le prince impérial qui est aux côtés des Anglais, en Afrique du Sud, tombe dans une embuscade. Les images sont d’une précision inouïe. Elle ne voudrait pas les voir et pourtant ça la happe. Donc, elle continue à regarder l’horreur qui se déroule. Le prince, abandonné par les membres de l’escorte en pleine panique, tente de récupérer son cheval. S’accrocher à son destin. Mais le destin le fuit. Une flèche de Zoulou le transperce.

Quand elle retrouve ses esprits et qu’elle regagne la salle de réception, elle est toute blanche et a du mal à suivre les conversations. On s’étonne de ce comportement ; on s’inquiète ; on l’interroge. Elle finit par confier à quelques amis ce qu’elle a perçu.

On cherche à la rassurer : une hallucination, ce n’est pas bien grave ; ça peut arriver à tout le monde. Mais trois jours plus tard, la nouvelle est confirmée par un télégramme : le prince impérial est bien tombé sous les flèches des Zoulous. Comme si un lien indicible liait une mère et son fils.

Étrange et  pourtant bien réel !

Source : « Histoires magiques de l’histoire de France « de Guy Breton et Louis Pauwels

 

Eugénie et le parfum de violette

Inconcevable après la mort du prince, Eugénie de Montijo fit armer un bateau et s’embarqua pour l’Afrique du Sud afin d’aller se recueillir sur la tombe de son fils. Avec une partie de son équipage et des gens du pays qui avaient participé au combat, elle partit à la recherche de la pierre tombale. Hélas, la nature avait repris ses droits. Il fallut donc se frayer un chemin à la hache. En pleine journée, l’équipe, lasse, était sur le point d’abandonner les recherches quand Eugénie ressentit une forte odeur de violette. Elle le dit à ceux qui l’accompagnaient, ajoutant : « Mon fils adorait les violettes ; je suis sûre qu’il se trouve là. » Et montrant du doigt la direction d’où provenait le parfum, elle se dirige vers l’endroit en question. Après une courte marche, on découvre au milieu d’un enchevêtrement de végétation, une pierre tombale avec une inscription attestant que les restes du prince sont bien là. Ce signe a eu de nombreux témoins.

Il a résisté aux études critiques au point d’être cité comme exemple de fait paranormal ou parapsychique, c'est-à-dire inexplicable par les lois normales régissant notre réalité physique.

Source : « Histoires magiques de l’histoire de France” de Guy Breton et Louis Pauwels 

Eugénie et le parfum de violette

Image : L'odeur des violettes de l'impératrice Eugénie de Montijo - Les émanants

    

Un marin retrouvé mort dans une chambre froide

 Alors qu’un marin  venait de décharger des aliments, la porte de la chambre froide s'était refermée derrière lui. Le bateau est reparti. Arrivé au port, l’un de ses collègues l'a retrouvé mort de froid. Sur un mur étaient écrites les dernières heures du mourant. Le plus étrange est que le système de réfrigération n'avait pas été activé puisque la chambre froide était vide.Le marin était donc mort d'un froid qu'il s'était imaginé ressentir.

Source : Témoignage du commandant d’un cargo portugais, dans l’émission d’Alexandre Baloud «  mystères, » diffusée dans les années 90.

  

 Mystère du temps. L'affaire Berruyer


Contact avec l'au-delà, un bien étrange concert

Nous sommes à Paris le 2 juin 1925, il est 10 heures du matin. Un étudiant en médecine de 24 ans, Jean Romier, est assis sur un banc dans le jardin du Luxembourg quand un vieillard, vêtu d’une vieille redingote, engage la conversation. Les deux hommes viennent, par hasard, à s’entretenir de musique et le vieillard se révèle un passionné de Mozart. L’étudiant lui explique que les places de concert sont chères quand le vieillard lui propose, après avoir sympathisé, de venir écouter chez lui le petit orchestre de musique de chambre qu’il a créé avec des amis et de la famille. Jean Romier accepte avec joie la proposition d’Alphonse Berruyer et ils se donnent rendez-vous le vendredi suivant rue de Vaugirard, au troisième étage gauche. Quelques jours passent et Jean Romier sonne à l’adresse indiquée, Alphonse vient lui-même lui ouvrir. Il l’invite à entrer et le présente à toute la famille.
-“Voici mon petit-fils André qui se prépare à entrer à l’École Navale. Voici mon autre petit fils Marcel, qui fait son droit. Et mon neveu, qui va entrer dans les ordres…”
Tout le monde se montre souriant et chaleureux, pourtant l’étudiant éprouve une curieuse impression. L’éclairage est au gaz, l’appartement vieillot et le style rococo. De plus la famille Berruyer est habillée d’une façon étrangement démodée. Ces gens charmants lui semblent appartenir à une autre époque.
Le concert a lieu, ces amateurs jouent admirablement et Jean Romier se délecte en écoutant Mozart. Au bout d’un moment, Jean s’aperçoit qu’il est minuit passé et il se retire. Il est à peine dans la rue qu'il veut allumer une cigarette et s’aperçoit qu’il a oublié son briquet chez ses nouveaux amis. Aussitôt, il regrimpe les trois étages et sonne. Pas de réponse. Il sonne toujours sans plus de résultat et s’étonne :
- “Il est impossible qu’ils soient déjà couchés !”
Alarmé le voisin de palier, en pyjama, crie :
-“Alors c’est bientôt fini ce boucan ? que faites-vous là ? Qui demandez-vous ?”
-“ Je sonne chez les Berruyer” répond Jean.
L’autre explose et lui rétorque que Monsieur Berruyer est mort depuis bientôt vingt ans et que cet appartement est vide. Le jeune homme surpris lui répond :
-“Mais c’est impossible, j’y ai passé la soirée !”
Le voisin lui répète qu’il n’y a personne et se met à hurler :
- “Au voleur, au voleur !!!”
Avec tout ce remue-ménage le concierge se réveille, accourt et demande des explications. Le locataire, qui a ameuté l’immeuble, explique qu’il vient de mettre la main sur un cambrioleur et tout le monde se rend au commissariat. Là, Jean Romier affirme qu’il n’est pas un voyou, qu’il est étudiant en médecine et que son père est lui-même médecin. On appelle donc le docteur Romier qui s’étonne d’apprendre que son fils se trouve dans un poste de Police :
-“Je sais qu’il devait aller entendre hier soir un concert d’amateurs rue de Vaugirard et je ne comprends pas votre histoire d’appartement vide. J’arrive de suite…”
En attendant, Jean raconte toute sa soirée au commissaire. Le concierge intervient et apprend au policier que le logis appartient aujourd’hui à l’arrière-arrière-petit-fils, monsieur Mauger et donne ses coordonnées téléphoniques. Le lendemain matin, le commissaire parvient à joindre monsieur Mauger, lui explique rapidement la situation et lui donne rendez-vous rue Vaugirard. Une demi-heure après, tout le monde est là, réuni sur le palier, quand Jean Romier commence à décrire avec précision le mobilier ainsi que les bibelots et tableaux qui se trouvent derrière cette porte. Le propriétaire ouvre et l’étudiant est saisi : cet endroit si vivant la veille est, ce matin, glacial, couvert de poussière et sent le moisi. Soudain, Jean aperçoit plusieurs portraits au mur et cite devant les témoins les noms des personnages représentés ainsi que la nature de leurs études. Monsieur Mauger pâlît, considère le jeune homme avec stupeur, et en effet, confirme que le futur élève de l’école navale était mort amiral, que celui qui faisait son droit était devenu avocat et que le futur séminariste était mort missionnaire en Afrique. Puis il se met à trembler et se souvient maintenant que son grand père lui avait parlé de concerts organisés ici par son grand-père Alphonse Berruyer.
Une émotion oppressante gagne tout le groupe quand Jean, figé, découvre son briquet déposé sur un guéridon couvert de poussière….

Sources : Archives de la préfecture de police ; “Histoires magiques de l’histoire de France” de Guy Breton et Louis Pauwels 



Le réalisateur Jean-Pierre Mocky


Alors qu'il dînait dans un restaurant, en compagnie d'amis, le 23 septembre 1970 au soir, (Il était environ 21h), il fut soudain pris d'un malaise; il dut quitter précipitamment la table et sortir du restaurant pour prendre l'air. Ses amis s'étaient inquiétés de son état. Ayant repris ses esprits au bout de quelques minutes, il revint s'asseoir à la table. Il s'était demandé ce qui lui était subitement arrivé. Le lendemain matin, il reçut un coup de fil  d'un ami qui lui annonça  la terrible nouvelle: Bourvil venait de décéder dans la soirée du 23 septembre vers 21H, au moment même où Jean -Pierre Mocky eut un malaise. Était-ce une pure coïncidence? D'après le réalisateur, il ne le pensait pas.
 Peut-on parler de prémonition, ou de phénomène télépathique ?

A ce jour, les questions restent sans réponse.

Source : Article publié dans le quotidien France-Soir de l’époque.

 

La maison qui saigne


Cette histoire s'est déroulée en 1986, à Saint-Quentin, ville de 60 000 habitants de l'Aisne. Une maison, située dans le quartier de Rémicourt, rue des Canonniers fut la source de nombreux problèmes pour ses habitants.



Un mois après son emménagement dans la maison, un jeune couple entendit des bruits bizarres venant du rez- de chaussée: Bruits de casseroles, d'autres comme une craie qui grince sur un tableau, gémissements semblables aux cris d'hommes agonisants. Évidemment, au début, ils ne s'inquiétèrent pas trop, pensant qu'il s'agissait des voisins.

Jusqu'au jour où, la femme trouva un liquide rouge sur le mur de la cuisine. A ce moment là, la panique commença à venir. Elle alerta son mari qui ne s'inquiéta pas et répondit :"Cela doit être un effet de peinture qui ressort ». En effet, en arrivant dans la maison, la peinture avait été mise sur les murs et il pouvait sembler que celle-ci commençait à transparaître.

Au fur et à mesure, des taches apparaissant un peu partout dans la maison, la femme n'osant plus dormir, le couple se décida d'appeler la gendarmerie afin de lever le doute sur une possible mauvaise plaisanterie.
Les gendarmes prirent un échantillon du liquide ; il s’avéra qu'il s'agissait de sang humain. La famille, qui habitait les lieux avant le couple, fut interrogée (elle avait fait construire la maison). Cette famille, les Pironet, affirma que jamais rien de tel ne s'était produit dans le passé.

Un an plus tard, cette maison passa sur la première chaîne française, dans l'émission mystère.  Les Pironet décidèrent alors de révéler la vérité sur ce qui s'était passé.

 Comme ils voulaient vendre la maison, ils décidèrent alors de tout repeindre et réussirent à la vendre au couple et ne dirent rien sur le phénomène.

La gendarmerie, interpellée par cette affaire, se demanda s'il s'agissait d'une farce. Ils mirent de la farine sur le sol de la maison et mirent la maison sous scellés pendant une semaine afin que personne ne puisse rentrer.

Après sept jours, ils démirent les scellés et rentrèrent dans la maison. Rien n'avait bougé mais les murs étaient maculés de sang. Dès lors, le couple loua un appartement ; fit venir un prêtre qui dit qu'il s'agissait de l'œuvre du diable. Un crâne humain fut même découvert. Supposant que les lieux étaient hantés, le prêtre bénit les lieux et le couple se réinstalla dans la maison. Le phénomène se poursuivit. Finalement, la maison fut mise en vente une nouvelle fois, et le couple partit loin d'ici.

Après une dernière tentative infructueuse de revendre la maison, cette dernière fut démolie afin de mettre fin à cet inexplicable cauchemar. Lors de la construction de la nouvelle maison, une chose étonnante se produisit:

On exhuma une cinquante de soldats allemands de la première guerre mondiale.

Il est probable que cela ait un rapport mais cela restera à jamais inexpliqué.

Sources : Émission Mystères, d’Alexandre Baloud et parution dans « la voix du Nord »
    

Phénomène paranormal vécu par le cardiologue Dr Barnard

Le célèbre professeur Christiaan Barnard, invité à une émission télévisée,(Les dossiers de l’écran d’Armand Jamot dans les années 70), avait raconté ce qu'il avait vécu d'extraordinaire alors qu'il était seul dans son cabinet de travail .A un moment donné, alors que la porte était fermée, est apparue une femme, tout de blanc vêtue, est passée devant son bureau et elle s'est littéralement évaporée en arrivant à la fenêtre. Effrayé, le cardiologue s'est aussitôt levé, a ouvert la porte. Peu de temps après, les infirmiers l'ont appelé pour lui signaler qu'une patiente venait de décéder. En arrivant dans sa chambre il a formellement reconnu la personne qui avait traversé son cabinet. Je ne pense pas que l'éminent professeur avait été victime d'une hallucination. Il n'avait pas osé en parler tout de suite; cela aurait peut-être nui à sa notoriété...

Source : Le cardiologue lui-même dans l’émission les dossiers de l’écran

Vision de la dame blanche par le Dr Barnard

(Image : Vision de la dame blanche par le Dr Barnard - Les émanants)

Une étrange Dame en Blanc

Voici  un passage audio d'une conférence  présidée il y a quelques années par Richard Bessière, écrivain et conférencier, décédé depuis.

Il nous parle de l'expérience hors du commun vécue par le célèbre cardiologue Christiaan Barnard en 1966, alors qu'il était dans son cabinet.

Je vous la résume: une apparition fantomatique soudaine d'une dame, tout de blanc vêtu, et s'évaporant mystérieusement par la fenêtre.

Quelques minutes plus tard, le professeur fut appelé par une infirmière, l'informant qu'une femme venait de décéder. En se rendant dans la chambre de la patiente, quel ne fut pas son étonnement de voir que la personne était la même que celle qu'il venait de voir traverser son cabinet de travail quelques instants auparavant.

Bien des années plus tard, en 1983, Richard Bessière avait demandé  de raconter au cardiologue ce qu'il disait avoir été un incident. Sa réponse fut sans appel : ..."après ce que j'ai vécu, j'ai la totale certitude que la mort n'est qu'un passage vers un au-delà. "

Source : Conférence de Richard Bessière 



Le fantôme de la Dame Blanche de l’hôpital de Caen et de Luc-sur-Mer (14)

Auto-stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier.

Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc-sur-Mer.

Pendant le trajet de 14 km, le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément :

- Faites attention, le virage est traître !

La Dame Blanche de Caen /Luc-sur- Mer (Calvados) fait du stop de nuit, près de l’abribus situé sur la D7, à la sortie de Caen, juste après le centre hospitalier universitaire (CHU) de la ville (photo A).

Peu loquace, elle ne dit mot pendant le trajet en voiture puis s’évanouit sans laisser de traces, quatorze kilomètres plus loin, à l’entrée de Luc-sur-Mer, où elle prétend habiter.

Elle disparaît toujours après avoir manifesté une grande frayeur et crié au danger au danger dans cette courbe située à l’entrée de Luc-sur-Mer (photo B).

Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer.

Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide.

Ce virage, qui semble créer chez elle une véritable panique, est celui où elle s’est tuée, quelques années auparavant, dans un accident de la route. L’endroit a d’ailleurs été le cadre de très nombreux autres accidents mortels. Ce phénomène fantomatique se répète avec une extraordinaire constance depuis 1970.

Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue.

Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.

Sources :'Les Lieux de l'Au-delà'' de Didier Audinot



 Si vous consultez l’ouvrage de Didier Audinot, il y a fort à parier que vous découvrirez un lieu proche de chez vous, qui a été l’objet d’une apparition d’une Dame Blanche. La carte établie par Didier Audinot, recense 297 cas d’apparitions régulières de Dames Blanches.

L’enquête a été conduite de façon identique dans chaque département français, mais il apparaît clairement que ces manifestations sont plus fréquentes sur la façade atlantique, en Bretagne et en Poitou. On peut avancer l’idée d’une « sensibilité régionale »au phénomène, la tradition celtique et le contact avec le monde des morts étant l’héritage culturel de ces contrées. Je pourrai également vous parler des rêves prémonitoires de Coluche dans quelques- uns de ses sketches.

 

La mort de Daniel Balavoine


Voici ce qu’avait  raconté la sœur de Daniel Balavoine, le 13 janvier 1986.

« Le 13 janvier 1986, nous étions réunis en famille. Cet après-midi là, nous avions allumé la radio. Au bout d’un moment, celle-ci diffusait une chanson de mon frère, très émouvante, intitulée « Mourir avant les miens.»

Spontanément, j’ai choisi une autre station.Quelques minutes plus tard, cette autre station diffusait la même chanson.Une atmosphère étrange, angoissante régnait dans la maison. Nous n’osions plus parler.

Était-ce une simple coïncidence ?

Le lendemain, 14 janvier 1986, l’affreuse nouvelle tomba comme un couperet. En allumant le poste de télévision, j’appris la mort accidentelle de mon frère et de Thierry Sabine, le directeur du Paris Dakar, à bord d’un hélicoptère.»

Comment interpréter ce phénomène étrange et bien réel ? A ce jour, nous n’avons aucune réponse.

  Voici le texte de la chanson :

Paroles de «  Partir Avant Les Miens » 

Petite foule danse
Autour d'un corps s'endormant
Douceur immense
Pour le départ d'un parent
Calmement
Peint aux couleurs de l'artifice
Des bleus lisses et roses et blancs
Et lentement
Visages tendres sur l'herbe glissent
Se sourient en chuchotant
Et sans le moindre tourment
Ils fêtent mon enterrement

Cendres folles et s'envolent
Sous les yeux pâles et contents
Et s'unissent aux lucioles
Pour vivre un dernier instant
Et à jamais
Restent en suspens 

Et j'ai souvent souhaité
Partir avant les miens
Pour ne pas hériter
De leur flamme qui s'éteint
Et m'en aller
En gardant le sentiment
Qu'ils vivront éternellement
Et simplement
Qu'ils fassent que la nuit soit claire
Comme aux feux de la Saint-Jean
Que leurs yeux soient grands ouverts
Pour fêter mon enterrement 

Père et mère, sœurs et frères
Je vous aime puissamment
N'adresser aucune prière
Où que j'aille je vous attends
La poussière
Vit hors du temps

Il faut rester à la lumière
Dansez, buvez en me berçant
Que je vous aime en m'endormant .

Source : Témoignage recueilli par la sœur de Daniel Balavoine, diffusé sur France télévision, date non précisée.



Lincoln et Kennedy

Similitudes troublantes entre les présidents Lincoln et Kennedy ( Paraît-il qu’il y en aurait beaucoup d’autres)


Abraham Lincoln fut élu au congrès en 1846. John F. Kennedy fut élu au congrès en 1946.

Abraham Lincoln fut élu président en 1860. John F. Kennedy fut élu président en 1960.

Les noms Lincoln et Kennedy sont composés de 7 lettres.

Les deux furent très attachés à la défense des droits civils.

Les épouses des deux présidents perdirent leur enfant alors qu’elles vivaient à la Maison Blanche.

Les deux présidents furent tués d’une balle dans la tête. Les deux présidents perdirent la vie un vendredi.

La secrétaire de Lincoln s’appelait Kennedy. La secrétaire de Kennedy s’appelait Lincoln.

Les deux présidents furent assassinés par des « sudistes ». Les deux présidents eurent pour successeur un « sudiste ».

Le nom de chacun de leurs successeurs comportait 7 lettres, les deux s’appelaient Johnson.

Andrew Johnson, qui succéda à Lincoln, est né en 1808. Lyndon Johnson, qui succéda à Kennedy, est né en 1908.

John Wilkes Booth, qui assassina Lincoln, est né en 1839. Lee Harvey Oswald, qui assassina Kennedy, est né en 1939.

Les deux assassins étaient connus par leurs trois noms. Le total respectif des lettres de leurs trois noms comporte 15 lettres.

Lincoln mourut dans un théâtre appelé « Kennedy ». Kennedy mourut dans une voiture appelée « Lincoln ».

John Wilkes Booth tenta de s’échapper depuis un théâtre et fut arrêté dans un immeuble. Lee Harvey Oswald tenta de s’échapper depuis un immeuble et fut arrêté dans un théâtre.

Booth et Oswald furent assassinés avant leur procès…Et maintenant le plus surprenant…

Une semaine avant d’être assassiné, Lincoln était en vacances à Monroe, Maryland. Une semaine avant d’être assassiné, Kennedy était en vacances avec Marilyn Monroe.

Tout ceci n’est que pure coïncidence… ? N’est-il pas possible que notre monde soit guidé par des forces qu’en réalité nous ne connaissons pas… ? La vérité et la réalité sont probablement… dans l’obscurité…

Source : Emission d’Alexandre Baloud « Mystères  » ; diffusée dans les années 90.

   

Coluche


Dans l’histoire d’un mec, à un moment donné il parle d’un ami qui fait tomber ses lunettes du pont de l’Alma dans la Loire et l’autre rétorque « C’est pas la Loire, c’est la Seine..» Puis on a demandé à Coluche, pourquoi avoir choisi particulièrement le pont de l’Alma alors qu’on en compte une trentaine enjambant la Seine, à hauteur de Paris. Voici quelle fut sa réponse :

« Dans mon sketch, j’ai minimisé l’incident : quelqu’un qui fait tomber ses lunettes, ce n’est pas grave .Mais j’ai fait un jour ce rêve étrange que quelqu’un de célèbre,( il ne pouvait pas préciser qui exactement) ,allait être victime d’un grave accident. » Effectivement, quelques années plus tard, le 31 août 1997, la princesse Diana trouvait la mort dans un accident de voiture sous le pont de l’Alma.

Simple coïncidence ou pur hasard ?

Dans le sketch « Misère, misère, » il dit  à un moment : « Vous verrez quand la gauche passera en 2012 !»On lui a demandé pourquoi avoir choisi cette date. Il a répondu ceci : « J’ai rêvé qu’un président de la République socialiste (il ne savait pas qui exactement )serait élu cette année là. » Effectivement, François Hollande fut élu en 2012.

Etait ce encore une simple coïncidence ou le fruit du pur hasard ?

Dans le sketch « Y a pas le bol », il parle d’un grave accident de la circulation dont il serait victime. Et on lui demanda pour quelle raison avoir créé ce sketch pas drôle du tout.« J’ai eu un mauvais pressentiment en créant ce sketch qu’un jour je mourrai dans un accident de voiture. »Telle fut sa réponse. Il mourut sur sa moto, après avoir heurté un camion, en mai 1986.

Encore et toujours une simple coïncidence ou le simple hasard ?  Source : L’auteur lui- même


Bernadette Soubirous


A propos du corps de Bernadette Soubirous (très court extrait) :

Son corps, exhumé à trois reprises, en présence du corps médical, fut retrouvé intact. Avec l‘accord de l’évêque de Nevers de l’époque, pour vérifier si la qualité du sol n’était pas à l’origine de la conservation des corps, on exhuma les tombes d’autres religieuses à proximité de celle de Bernadette Soubirous. Elles ne renfermaient que des ossements…

Source : « Lourdes, histoire authentique des apparitions  » de l’abbé René Laurentin    6 vol. Éditions Lethielleux (1961-1964)


Padre Pio

L'apparition soudaine de Padrio Pio dans le bureau du général.

Pendant la Première Guerre mondiale, Padre Pio  sert dans le corps médical italien (1917–1918). C'est pendant la guerre que se situe un événement raconté par le bénéficiaire lui-même. Le 24 octobre 1917, une attaque surprise des Autrichiens et des Allemands ayant percé les lignes italiennes et causé le désastre de Caporetto (Kobarid), le général Luigi Cadorna, commandant en chef et soldat valeureux, fut limogé. Retiré au palais de Zara, à Trévise, très marqué par sa défaite, il décida d'en finir et, s'apprêtait à tirer le coup de revolver fatal, lorsqu'il vit soudain entrer dans son bureau un moine capucin qui le convainquit de ne pas attenter à sa vie. Une fois le religieux reparti aussi soudainement qu'il était apparu, Cadorna tança les gardes en faction, leur reprochant d'avoir laissé passer sans l'annoncer un moine inconnu de tous. Les soldats jurèrent leurs grands dieux qu'ils n'avaient vu personne entrer ou sortir ! Plusieurs années plus tard, le général, voyant une photo de Padre Pio dans un journal, reconnut le capucin qui lui avait sauvé la vie par des paroles de réconfort, un soir de novembre 1917.

On a dit qu’il avait le don de lire dans les âmes qu’il confessait et qu'il avait le pouvoir de bilocation, c'est à dire d'apparaître simultanément dans deux voire plusieurs endroits. Un phénomène inexpliqué à ce jour par toute la communauté scientifique.

bilocation du Padre Pio

Image : bilocation du Padre Pio - Les émanants

Un chat retrouve ses maîtres 2 ans plus tard

Un chat, Karim, a fait plus de 3 000 km pour retrouver ses maîtres ! Déménageant de l'Ouzbékistan à la Russie, Ravila Hairova avait jugé plus raisonnable de laisser son chat dans sa ville de départ. Elle l'a donc confié à ses voisins, en compagnie de ses affaires préférées afin qu'il ne soit pas trop désorienté.

La famille s'est alors rendue en Russie, où elle a emménagé dans une nouvelle maison. Elle apprend, quelques jours plus tard, que Karim s'est enfui de sa nouvelle maison. La famille s'en est trouvée très attristée.

Deux ans plus tard, Ravila Hairova marche le long de la route pour se rendre chez elle. Elle aperçoit un chat qui semble l'attendre. En s'approchant, elle se rend compte que l'animal n'est autre que... Karim, le chat dont ils n'avaient pas de nouvelles depuis 2 ans !

Karim était amaigri et fatigué. Aujourd'hui, il est très heureux d'avoir retrouvé sa famille, qui le lui rend bien ! Ravila Hairova a déclaré ne pas comprendre comment leur chat a pu les retrouver aussi loin, mais est très heureuse qu'il l'ait fait !

Ce n'est pas la première histoire de ce genre : beaucoup d'animaux font de longs voyagesinexpliqués, tel ce chat qui a parcouru 500 km, cet autre chat qui est parti en balade pendant 3 ans et demi, ou ce chien retrouvé à 2000 km de chez lui ! 

 La maison "hantée" de Mentque -Nortbécourt




Reportage diffusé sur France télévision en avril 2013.

 Pour en avoir le cœur net, au mois de juin de l'année dernière, j'avais contacté la mairie pour leur demander si ce fait divers était bien réel ou à l'origine d'un canular. La réponse fut catégorique: les faits ont bien eu lieu.

Le maire a même été  témoin et victime de faits étranges. La gendarmerie a été dépêchée sur place.

Je ne pense pas qu'on fasse appel aux gendarmes sans raison. A ce jour, la maison est inoccupée.

Phénomène de télékinésie ou poltergeist ! Le mystère est total.

"Cette terrible et inquiétante histoire se déroule à Mentque-Nortbécourt dans le Nord de la France près de St Omer. Il y a tout juste un an, une maison jusqu’ici sans problème, est devenue la proie d’étranges phénomènes.

Selon les récits des témoins, de l’appareillage ainsi que de la nourriture auraient été balancés contre les locataires de la petite maison de  Mentque-Nortbécourt. Interrogé sur cette étrange affaire, le maire du village aurait été alerté de ce désagrément, et aurait même été témoin de ces manifestations; selon ce dernier, un œuf serait venu lui percuter la nuque. Selon les maigres informations, le diocèse du village aurait envoyé un exorciste, sans toutefois avoir donné plus de détails.

Selon les dernières informations, il semblerait que dernièrement les phénomènes paranormaux ont soudainement pris une proportion démesurée. En effet, le 9 avril dernier, tous les occupants de la maisonnette ont terminé à l’hôpital.Les phénomènes se seraient amplifiés, et une chaise aurait frappé l’un des occupants le blessant à la tête. Les autres membres de la famille, en état de choc, aurait été pris en charge.La maisonnette, qui a subi une rénovation totale il y a deux ans, a étrangement accueilli pendant dix ans six familles, et cela sans aucun problème. Aucun membre de ces familles n’a été perturbé par cette maison, et personne n’avait eu affaire à un quelconque  poltergeist ou d’autres phénomènes paranormaux.

Une demande de relogement d’urgence a été envoyée à la préfecture de St Omer, laissant le mystère entier…" 


Phénomène télépathique

  Un évènement tragique  de notre histoire de France que tout le monde connaît: l'assassinat du roi Henri IV. rue de la Ferronnerie, le 14 mai 1610. Mais un phénomène inexpliqué que peu de gens connaissent .  Son ministre Sully eut un mauvais pressentiment, mais, il ne savait pas ce qui allait se passer.: la veille de son assassinat, le 13 mai 1610, il avait conseillé au roi de rester au Louvre et de ne pas traverser les rues de la capitale, à bord de son carrosse. Le roi ne tint pas compte du conseil de son ministre.

 Le lendemain, alors qu’il se rendait avec le duc d’Epernon et d’autres membres de sa Cour chez son ministre, le duc de Sully, escorté de valets de pied et de gentilshommes, le roi Henri IV fut poignardé par trois fois dans son carrosse par un homme qui les suivait depuis leur départ du Louvre : Ravaillac. Il meurt de ses blessures au Palais du Louvre quelques heures après. Ravaillac est capturé. Sully est averti de la mort du roi."


Les expériences de mort provisoire

(near death experience.)

source: " La vie après la vie"du docteur Raymond Moody.

Pamela Reynolds était une américaine(décédée depuis), opérée d'un anévrisme et dont le corps était plongé en hypothermie, le cœur arrêté, en état de mort clinique provoquée pendant une heure.A son réveil, elle  décrivit les instruments, les conversations, les procédures... avant une expérience dans la lumière. Ainsi, ces expériences (NDE ou EMI) restent possibles quand le cerveau ne fonctionne plus du tout... Commentaire du Docteur Moody (auteur du best-seller : La vie après la vie) :.«Je suis complètement fasciné par cette expérience.Imaginez qu'une équipe de médecins,à Phoenix,a réussi à abaisser la température de cette patiente pour l'amener dans un état de mort clinique dans  le but de lui sauver la vie. En se réveillant de son opération pour un anévrisme,qui a duré une heure,elle a raconté avec précision ce  qu'elle avait vu et entendu,tant dans la salle d'opération que dans l'autre monde,avec des êtres de lumière. Ce genre d'intervention chirurgicale se pratique maintenant de plus en plus et va nous permettre de recueillir beaucoup plus de témoignages et d'avoir accès à une connaissance inouïe!»  Les personnes qui ont frôlé la mort à la suite d'un accident, d'un infarctus ou d'une opération délicate ont toutes eu les mêmes "visions". Est-ce la preuve de l'existence d'une vie après la mort ? Le sentiment de planer au-dessus de son propre corps, d'être projeté à travers un tunnel vers une source de lumière intense, de voir défiler sa vie, de rencontrer un mystérieux être lumineux : les "rescapés de la mort" font tous le même récit...Selon les statistiques, 4% de la population française et 12% de la population aux États-Unis ont vécu des E.M.I.

D'après le Dr Jean-Jacques Charbonier: "le cerveau ne secrète pas la conscience mais celle -ci est à l'extérieur du corps lorsque le cerveau cesse de fonctionner. La conscience est beaucoup plus performante. Est-elle l'âme? Selon l'aphorisme de Colin Henry Wilson écrivain britannique :

"La quantité de preuves de la survie après la mort est telle que les ignorer revient à se tenir face à l'Everest et à affirmer obstinément qu'on ne voit aucune montagne."


 Henry lV et le nombre 14


Il y a 14 lettres dans le nom Henri-de-Bourbon.

Il est né le 14 décembre 1553, la somme des chiffres cette année étant égale à 14. Assassiné le14 mai 1610, il aura vécu 4 fois 14 ans, 14 semaines et 4 fois 14 jours....

Sa première femme Marguerite de Valois est née le 14 mai 1552.

C'est le 14 mai 1588 que commença la révolte des Parisiens (journées des barricades), qui provoqua l'alliance d'Henri III avec Henri de Navarre.

Le 14 mars 1590, il remporta la bataille d'Ivry.

Le 14 mai 1590, il fut repoussé des faubourgs de Paris.

Le 14 novembre 1590, Grégoire XIV publia une bulle excluant Henri du trône.

Le 14 novembre 1592, le parlement de Paris enregistrait cette bulle pontificale.

Henri IV est le père de 14 enfants légitimes et légitimés.

Le 14 décembre 1599, il obtint la soumission du duc de Savoie.

Le 14 septembre 1606 fut baptisé le dauphin, futur Louis XIII.

Et donc, enfin, le 14 mai 1610, Henri IV fut assassiné par Ravaillac.

Source : "Histoires d'amour de l'histoire de France" de Guy Breton.

Les nombres

Le nombre 129

Révolution française : 1789

Révolution allemande : 1918

129 ans d’écart.

Avènement de Napoléon 1er : 1799

Avènement d’Hitler : 1928

129 ans d’écart.

Campagne de Russie de Napoléon : 1812

Campagne d’URSS d’Hitler : 1941

129 ans d’écart.

Défaite de Napoléon : 1815

Défaite allemande : 1944

129 ans d’écart. 

Le nombre 11 

Autre curiosité : l’armistice de 1918 fut signée à 11 heures le 11 novembre (11ème mois de l’année), ceci 11 mois après la libé­ration de Jéru­salem par les troupes dites alliées, appelées "les Onze.

Quant aux nombreuses coïncidences du nombre 11 :  11 septembre 2001,  Attentat des Tours WTC à New York

Le nombre 539

Saint-Louis naît le 23 avril 1215; Louis XVI, le 23 août 1754: écart 539 ans.

Isabelle , sœur de Saint-Louis, naît en 1225;Élisabeth, sœur de Louis XVI, naît en 1764:écart :539 ans

Louis VIII, père de Saint Louis, meurt en 1226.Le dauphin Louis, père de Louis XVI, meurt en 1765.: écart: 539 ans...


Des coïncidences extraordinaires !

-En 1874, le statuaire Emmanuel Frémiet, voulant faire une statue de Jeanne d’Arc, prit pour modèle Melle Jeanne Laneau, non pas, bien entendu, en raison de son prénom, mais de sa plastique.

C’est Jeanne Laneau qui, place des Pyramides, à Paris, représente aujourd’hui la pucelle d’Orléans.

Or, en 1936, un incendie s’étant déclaré dans sa chambre, elle mourut brûlée vive.

-Georges Rème était un cambrioleur célèbre pour ses évasions. Un jour qu’il avait, une fois de plus, réussi à s’échapper de prison, il vola une voiture dont il changea le numéro d’immatriculation, et se dirigea vers le Sud-Ouest.

A Royan, il s’arrêta devant un garage pour prendre de l’essence. Or, au bout de quelques instants, un autre automobiliste rangea sa voiture à côté de celle de George Rème. Le garagiste ,qui était sur le pas de sa porte, s’aperçut alors avec stupéfaction que les deux véhicules avaient exactement le même numéro minéralogique. Il alerta la police.

Et Gorge Rème fut arrêté parce que, à la suite d’une coïncidence vraiment fabuleuse, le possesseur du numéro qu’il avait peint, absolument au hasard, sur sa voiture, était venu se ranger précisément à côté de lui.

(Envoyé par Patrick Martin) 
 

https://emanants.blogspot.com/2020/06/histoires-magiques.html