Rencontre avec des petits êtres, peut-être extraterrestres, aux pouvoirs surnaturels...


C’est l’histoire réelle de ce qu’a vécu un jeune homme, témoin et acteur d’une rencontre avec des petits êtres, peut-être extraterrestres, aux pouvoirs « surnaturels », un cas étrange, une histoire qui pourrait faire partie des contes et légendes orientales et plus particulièrement Marocaines.
J’ai aujourd’hui 31 ans, je vis au Maroc, à Mohammedia, actuellement j’occupe un poste de cadre supérieur dans un groupe agroalimentaire à Casablanca. Lorsque j’avais 17 ans, j’ai fait une étrange rencontre qui n’a pas été sans conséquences sur ma vie et sur ma santé. Aujourd’hui encore, je ne cesse de me poser des questions sur ce que j’ai vu. J’ai fait des études en France, après cette rencontre, j’ai donc acquis une certaine culture scientifique et j’ai aussi une vision de la culture occidentale. Aujourd’hui, j’ai conscience que des faits aussi étranges doivent être portés à la connaissance du public, sous un autre regard que l’explication toute faite de l’intervention de Djin’s ou autres créatures enseignées dans notre religion. Je me suis intéressé à l’astronomie, aux phénomènes qui dans l’espace restent non identifiés (OVNI) et j’ai aussi lu des ouvrages sur les légendes en France. Ici, au Maroc, de tradition, on ne parle pas de tout cela, sinon dans le cercle restreint de la famille, des amis proches. Il n’y a donc que très peu de faits similaires à ce qui m’est arrivé, publiés dans la presse ou dans des ouvrages.
Je vous raconte ce que j’ai vécu.


J’avais 17 ans et nous sommes partis en vacances dans la région d’Immouzer Kandar (ville située dans le moyen Atlas, à 1400 m d’altitude et à une quarantaine de kilomètres de la ville impériale de Fès) en famille, moi, mon frère ainsi que ma petite sœur et mes parents.

Ces vacances ont duré 10 jours, nous logions dans une petite maison dans un centre estival avec piscine. J’étais passionné par la nature, j’avais des jumelles, et chaque jour je faisais des sorties sans la permission de mes parents pour aller découvrir les montagnes environnantes.

Il y avait une montagne non loin du Centre, qui me fascinait beaucoup, il y avait comme une petite forêt à la base de la montagne. J’y suis allé plusieurs fois mais sans jamais monter très haut.

Un jour j’ai décidé d’aller plus loin et de monter jusqu’au sommet afin de contempler le paysage. Mais, arrivé à mi-chemin sur un plateau, je découvre une crevasse, comme une grotte enfouie dont l’entrée était impraticable, vu qu’il y avait un vide et que des cordes et du matériel étaient indispensables pour y descendre.



J’étais impressionné par ma découverte et aussi très ému. Il se faisait tard, j’ai décidé de rebrousser chemin. 

Le lendemain je suis remonté une nouvelle fois,  mais cette fois-ci, avec la volonté de me rendre jusqu’au sommet. J’ai suivi le même chemin que la veille, passant sur le plateau ou se trouvait la grotte. Alors que je m’en approchais, j’aperçois ce que j’ai identifié comme un groupe d’enfants venus de nulle part.  Ils étaient sur le plateau, regroupés en un cercle et semblant occupés à examiner quelque chose au sol. Ils semblaient muets et froids à la fois, ils m’ont vu venir et se sont aussitôt dispersés.

A  première vue, ils étaient très bien habillés et même trop bien habillés. Aucun rapport avec les personnes habitant la région, des bédouins et des paysans pour la plupart et même leur  apparence était bien soignée. Ils m’ont donné l’impression qu’ils avaient entre 8 et 10 ans au maximum, vue leur taille (qui était d’environ 1 m 40), et ils étaient beaux.Ils avaient des vêtements de type occidental, (c’est le rapprochement que j’ai fait, mais, vu l’étrangeté, ils pourraient très bien être d’une autre origine), ce qui n’est pas dans les coutumes locales.

On aurait dit des enfants qui sortaient d’une école Française, car ils portaient le même code vestimentaire (chemises avec petits gilets, demis-pantalons et souliers, tout ça propre et bien soigné), (1) vu leur similitude dans l’habillement, chose impossible ici ! Ils n’avaient aucun sac, ni bouteille d’eau, ce qui n’est pas non plus dans les habitudes ici, vu le climat très chaud et les risques liés à la montagne. Ces « enfants » m’ont semblé très mystérieux, comme s’ils étaient d’un autre monde !  Ils étaient beaux,  calmes, même trop calmes pour leur âge.  Cela donnait une impression de surnaturel ! Je dirais même comme si ces enfants venaient d’une autre planète. Pourtant pas d’engins pour les transporter aux environs, comment sont-ils venus ici, sans adulte, sans accompagnateur ? Leur présence, leur apparence, leur façon d’agir, de se comporter,  que l’on peut comparer à des adultes, ne cadre pas avec l’environnement, les habitudes locales ou de la campagne Marocaine.  Cette scène me donnait vraiment l’impression d’avoir à faire à des « extraterrestres » venus sur notre terre ! Comment cela est-il possible ?


En observant ce groupe, tout d’abord, j’ai eu peur pour eux, peur qu’il leur arrive quelque chose ici, au milieu de nulle part, et tout près d’une grotte d’au moins 15 mètres de profondeur, voir plus. J’étais encore loin d’eux, mais je les interpellai tout de même en leur posant la question toute bête :

« Qu’est-ce que vous faites là  et d’où venez vous ? ». 

L’un des êtres, l’un de ces gamins et un seul m’a répondu, en langue française, comme s’il lisait dans mon inconscient et d’une voix normale qui ne m’a pas choqué :

« On vient de pas loin ».   

Rien de plus, pas d’autres détails. Aussitôt qu’il a prononcé ces mots, les autres « enfants » vont se disperser aux abords du gouffre. J’aperçois alors une petite fille avec eux (ce qui, à nouveau, n’est pas dans les habitudes dans notre pays, et qui plus est à la campagne où les filles restent à la maison !) qui semblait vouloir descendre dans le gouffre. Instinctivement, j’ai alors lancé :

 « Mais où voulez-vous aller,  c’est dangereux ici, vous voulez vous jeter dans le gouffre ? ». 

L’être qui m’a répondu au début me dira alors :

« Nous sommes venus ici pour enlever ces choses ». 

Il me montrait ce qui était comme des fils fixés sur la paroi opposée du gouffre. Mais pour moi, il leur était impossible de décrocher ces fils, il faudrait voler ou être en lévitation pour le faire. Il y avait le vide, le gouffre, comment des enfants auraient-ils été en mesure de faire cela sans aide, sans matériel… Il s’agissait d’un acte qui n’était pas à la portée d’enfants normaux, surtout de ceux qu’on rencontre ici, et qui n’ont pas une grande culture. 

C’est alors qu’il me dit :

« Ne t’inquiète pas et viens, on va jouer à un jeu, je vais te défier et je suis sûr que je vais gagner » 

 J’ai souri et je lui ai dit :

« Vas-y,  montre-moi ». 

C’est alors que l’enfant se déplace assez loin du gouffre, je le suis, tout en me situant à une bonne distance de lui. Il prend un caillou et le lance en l’air. C’était tout à fait stupéfiant : le caillou volait comme un éclair, sans pratiquement que je sois en mesure de le suivre des yeux. Une vitesse folle, vertigineuse ! On aurait dit que le caillou brûlait dans l’air, tout en émettant un son très sourd.

Bien que je ne pensais pas faire mieux, je suis plus âgé que lui, je dois essayer, je ne peux donc que relever le défi. J’ai pris un caillou sur le sol, je l’ai lancé à mon tour et, évidemment, je ne suis pas arrivé au même résultat ! J’en ai repris d’autres et à deux ou trois reprises, j’ai lancé ces cailloux, sans obtenir le résultat que cet «  enfant » m’a démontré.  J’ai bien cherché des explications, mais je ne trouvais aucune solution. Comment cela était-ce possible ? Un pouvoir « surnaturel », une force ou une technologie que je ne connaissais pas. Je me pose toujours cette question, je n’ai pas trouvé à ce jour de réponse. 

Devant mon incapacité à faire mieux que lui, l’être qui se trouvait devant moi me sourit ! Il ajoute :

«  Tu n’arriveras jamais à faire ce que je peux faire …. » 

Je ne réponds pas, en moi-même je me dis «  bravo », tu as  un pouvoir mystérieux, moi, je ne le connais pas. Je me retourne et je regarde vers les autres « enfants » qui attendaient, les yeux dirigés dans ma direction et qui ne parlaient pas. Je remarque qu’ils ont tous quelque chose de commun : les mêmes traits !

Le « gamin » m’a alors demandé d’une façon qui ne m’a pas parue étrange où je comptais aller et pourquoi je suis monté jusqu’ici. Je lui ai répondu que je voulais seulement monter jusqu’au sommet de la montagne pour voir le paysage, y rester un moment, puis redescendre au village.  Il a poursuivi en me disant :

« Si tu veux, tu peux venir avec nous ». 

Sur le coup je n’ai pas saisi le sens de cette demande, car dans ma tête, il n’y avait pas où aller en bas, ni même ailleurs.

J’ai dit tout simplement :

« Je dois poursuivre mon chemin pour ne pas rentrer tard ». 

Surpris, ébahi par la scène, je ne comprenais toujours pas, mais je devais continuer ma route. Je leur ai alors dit à nouveau de faire attention.  Pour poursuivre mon chemin, étant en contrebas de ce groupe « étrange », je monte, je les contourne en passant à côté de l’endroit ou ils étaient en cercle, lorsque je les  ai vus pour la première fois. J’ai remarqué à cet endroit comme des cendres et des plumes d’un oiseau qui me semblaient être celles d’un pigeon. Rien de plus, pas d’os, pas de déchets. Je ne peux en dire plus, en tout état de cause, ce qui restait là au sol, ne pouvait pas expliquer que ces êtres partageaient un repas !

Je poursuis néanmoins l’escalade, puis, quelques minutes plus tard, je me retourne pour voir où était ce groupe bien mystérieux. Je regarde intensément, je cherche en direction de l’endroit où je les avais laissés, puis je vérifie en me déplaçant, en direction de la base de la montagne, si je les apercevais, mais plus personne… Plus rien : ce groupe a disparu comme s’il s’était volatilisé. L’horizon est relativement bien dégagé sur cette partie de la montagne, j’aurais dû les voir. Il semble impossible, vu les moyens dont ils disposaient, de descendre dans la grotte, et encore moins, en si peu de temps, de disparaître de mon champ de vision. Je ne m’explique pas.

Je continue toutefois mon chemin mais j’ai comme l’impression que quelque chose me suit, une présence qui m’accompagne, je ressens seulement cet effet car je ne vois personne autour de moi.

Arrivé au sommet, cette perception de n’être pas seul  s’est transformée en une envie de redescendre le plus vite possible !  Je ne dois pas rester là longtemps, mais je cueille toutefois quelques plantes qu’on ne trouve qu’à cet endroit, pour prouver,  s’il était utile, mon exploit. A l’origine pourtant, j’avais programmé de rester un petit moment pour contempler le paysage situé derrière la montagne, mais, à ce jour, je ne comprends toujours pas pourquoi je ne suis pas resté, pourquoi aussitôt arrivé et cueilli les plantes, je me suis précipité pour redescendre. Je n’ai même pas pris la peine de respirer, ni même de voir le paysage, c’est comme si quelque chose me murmurait à l’oreille de partir aussi vite que possible.

Ces êtres qui ressemblaient à des enfants, m’ont totalement perturbé. Ils m’ont montré une chose incroyable, que je ne pouvais pas reproduire, que j’étais incapable de faire. Eux- mêmes étaient étranges, comme s’ils n’étaient pas de notre monde.

En descendant la montagne, je suis repassé devant la grotte, le gouffre, mais il n’y avait rien, aucune présence de ces enfants.  Une fois arrivé au Centre, je ne parle pas de cette rencontre, je me contente de montrer à ma famille les plantes que j’ai arrachées au sommet de la montagne. Je demande à mon père de tenter de les voir en haut de cette montagne,  à l’aide d’une paire de jumelles qu’il possède. Mais il est fou de rage, il ne savait pas que je faisais ce genre de sortie, pensant que je restais dans le Centre de vacances et il me défend de sortir dorénavant du village où nous sommes.

Mais l’envie de retourner là-bas avec mon frère de 14 ans, avec qui j’avais partagé ma rencontre, était plus forte. Nous avons donc désobéi à notre père et nous sommes partis un après-midi en direction du sommet de la montagne. Toutefois, arrivé près du gouffre, de la grotte, mon frère a été envahi par la peur et il m’a demandé de redescendre immédiatement.  Il n’y avait pourtant personne, cette fois-ci, dans cet endroit qui forme une sorte de plateau. 

A la suite de mon expérience, n’en parlant vraiment qu’à peu de personnes, j’étais toutefois à l’écoute de tout ce qu’on pouvait dire sur cette montagne. J’ai ainsi entendu des jeunes parler à son sujet.  Ils voulaient y aller, mais l’un d’entre eux les avait dissuadés. Cette montagne est hantée, disait-il, il ne faut pas y aller !  Une fois, poursuit-il,  un groupe de personnes qui s’étaient engagées dans cette direction ont été attaquées par une pierre géante qui est descendue de nulle part. Les personnes ont failli être écrasées par cette pierre, par chance elles l’ont évité, mais, de peur,  elles sont redescendues immédiatement !


 Ce qui va suivre est encore plus que surprenant, plus grave et je fais le rapprochement de ces faits avec ma rencontre car on n’a pas trouvé d’explication. De retour à Mohammedia, lieu ou j’habite normalement, j’ai commencé à avoir des fièvres ininterrompues, chaque semaine. Dès que je commençais à aller mieux, ces fièvres revenaient. Le médecin ne comprenait pas. J’ai eu  aussi des difficultés à uriner. Puis les fièvres se sont arrêtées.

Deux semaines après, j’ai eu un malaise au lycée, comme un début de fièvre, je rentre chez moi, je me couche. Lorsque je suis allé aux toilettes, j’ai uriné du sang ! Une infection, mais pourquoi, comment ? Puis cela a empiré, allant jusqu’à provoquer au niveau des testicules, des douleurs importantes et insupportables. Je suis resté ainsi durant une semaine,  au lit, sans pouvoir me lever ou même changer de position. J’étais presque paralysé ! Les médecins m’ont fait des piqûres, mais rien n’a changé, je ne pouvais plus marcher ni bouger, je devais rester allongé sur mon dos et les jambes écartées.  J’ai consulté un spécialiste, un urologue, qui m’a fait hospitaliser et il a découvert une inflammation de l’hypophyse dont l’origine était inexpliquée. Au début, je suis resté au lit et à la maison pendant plus d’une semaine, en prenant les médicaments prescrits par le médecin urologue mais un soir, les douleurs se sont accrues et intensifiées. Mes parents m’ont immédiatement emmené à une clinique privée, où je suis resté une dizaine de jours, sous soins intensifs. Grâce aux multiples traitements que j’ai suivis, je me suis rétabli tout en évitant une opération chirurgicale. J’ai poursuivi le traitement une fois rentré à la maison, mais cette maladie m’a beaucoup coûté car j’ai perdu une année de bac.

Pas d’explication à tous ces malaises, mais, je reste persuadé que le fait d’avoir été en contact avec ce groupe étrange aux pouvoirs inconnus, que j’ai pris pour des enfants, d’avoir aussi été dans leur environnement est pour quelque chose dans ces fièvres et cette infection aux origines inexpliquées, selon les médecins. 

Je n’ai parlé de cette rencontre qu’à quelques personnes, sans approfondir, mais jamais elle n’a été l’objet d’une publication. C’est une rencontre encore totalement inconnue. Je suis allé dans les années qui ont suivi, poursuivre mes études en France. J’ai alors rencontré une personne originaire de cette région qui m’a confirmé que cette montagne était bien mystérieuse, qu’elle était maudite, hantée, et que les habitants, localement, racontaient de nombreuses légendes sur des histoires étranges qui s’y étaient passées. Je me pose toujours des questions quant à cette grotte, ce gouffre et la présence inexpliquée d’un groupe d’enfants qui semblaient venir d’ailleurs.

Au Maroc, ce type d’histoire ne franchit pas la porte de la famille, la religion admet la présence de Djin’s, ces êtres de feu qui sont là pour expliquer bien des visions ou des rencontres insolites et hors du commun. En conséquence, compte tenu de cette explication, de ce que prévoit le coran, il n’y a donc pas à s’inquiéter, et tous ces faits restent inconnus du grand public. Youssef M – Remise en forme Gérard Lebat © 

(1) Je fais cette comparaison à partir d’images, où dans certaines écoles, les enfants sont habillés tous d’une même façon, une sorte d’uniforme, pourrait-on dire. Évidemment, l’origine, compte tenu de l’étrangeté de la scène, peut être différente, et on pourrait imaginer un groupe d’êtres venus d’un autre monde, impression que j’ai eue également.

 (source : cropsciences )